Ce serait ainsi HSBC qui s’occuperait du dossier de la privatisation de la plateforme lyonnaise. De son côté, l’aéroport de Nice aurait comme banque Mediobanca.
En attendant le nom du repreneur qui devrait être annoncé début 2016, les noms se multiplient pour intégrer le capital de l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry. Ferrovial, le groupe espagnol de BTP et de services, s’est dit récemment intéressé tout comme l’italien Atlantia, le fonds Global Infrastructure Partners (en charge de l'aéroport London City), le fonds Industry Funds Management (déjà actionnaire à Vienne et Manchester) ou encore le groupe Malaysia Airport, le Canadian Pension Plan et le fonds de pension des enseignants de l'Ontario ainsi que des fonds souverains de Singapour et d'Abu Dhabi.
Pour piloter l'une des plus grosses privatisations depuis des années, l’État français osera-t-il retenir une banque mise en examen à Paris pour complicité de blanchiment de fraude fiscale et complicité de démarchage illicite ?
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