Ces 25 employés sont poursuivis par leur direction, qui estime
illégaux les piquets de grève. Le mouvement a débuté il y a bientôt un
mois. Les manifestants protestent contre la suppression d’une prime de
congés payés, versées depuis des années par erreur.
Trois sites sont paralysés depuis le 10 septembre dans la région Rhône-Alpes, à Lyon, la Talaudière et Valence.