Les personnes ayant été en contact rapproché et prolongé avec cette
jeune femme ont été identifiées au sein de sa classe et dans son
entourage, précise l’ARS. Bien que le risque de transmission soit
faible, un traitement antibiotique préventif leur a été prescrit.
"L'information et les réponses aux questions des autres étudiants sont en cours", indique l’autorité.
Pour rappel, l’infection invasive à méningocoque est une maladie qui est
rare
en France et qui se transmet directement d’une personne à une autre à
partir des sécrétions oro-pharyngées (postillons, toux, etc.).
Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver au printemps.
Selon
les dernières données,
le taux d’incidence dans le Rhône est de 0,78 cas pour 100 000
habitants, avec 14 cas d’infection invasive à méningocoque notifiés
sur ce territoire au cours des 52 dernières semaines. L'ARS Rhône-Alpes
dit rester "vigilante" et "renforce la surveillance épidémiologique
de cette maladie".
se faire vacciner ne protge pas forcment .
Signaler RépondreUne fois dans mon collège il y'avait eu un cas, aucune info du collège, c'est la radio qui me l'a appris, elle disait d'aller voir son médecin pour prendre un traitement préventif, je suis allé voir avant la principale avant, elle n'avait pas d'avis, elle m'a dit d'aller voir le médecin si je pensais que c'était important, je suis aller voir mon médecin, il m'a dit que le traitement était superflus mais que si je le souhaitais il me le prescrivait, alors je pose la question, si tout le monde s'en fout, pourquoi les médias s'y intéresse ?
Signaler Répondresi tu crois qu'il faut couter les mdias pour ta sant je suis pas sur que tu ai tout compris
Signaler RépondreLe vaccin existe , mais pratiquement plus personne ne se vaccine . Tant que la télé ne dis rien les gens ne prennent plus aucune initiative pour la prévention de leur santé.
Signaler Répondre