Une source judiciaire a confirmé l'information à LyonMag.
Pour rappel, nous révélions que ce mercredi, ces quatre fonctionnaires de la BAC de Lyon étaient suspectés de faux et usage de faux dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Lyon.
Ils auraient falsifié les PV suite à une interpellation musclée remontant à quelques mois sur les berges du Rhône. L'usage de la force n'aurait pas été légitimée par la vidéosurveillance et cette dernière infirmerait même la thèse des policiers.
"Il faudra déterminer dans quelle mesure ils sont solidaires ou bien si l’un d’eux a pu entraîner ses collègues dans sa bêtise", explique une source judiciaire sur l'enjeu des gardes à vue.
Pour ces faits présumés de faux et l’usage de faux, une personne dépositaire de l’autorité publique dans l’exercice de ses fonctions peut être jugé devant une cour d’assises et punie, en théorie, de 15 ans de réclusion et de 225 000 euros d’amende selon les dispositions de l’article 441-4 du Code pénal.
dissolution de la BAC
Signaler RépondreTiens, dans cet articles on ne parle plus de falsification des vidéos surveillances?
Signaler Répondreje en sais quoi en penser...
Signaler Répondreles flics sont la cibles constantes des voyous et de l opinion publique!
ce metier n est pas facile
croiser dans la rue un malfrat qu on a interpellé pour stups, violence ou que sais je quelques jours plutot doit etre terrible pour le moral et le sentiment de respect
que sait on reelement des faits? le delinquant ne les a t il pas menacer de mort, insulter...??
a coté de cela, si l'autorité judiciare lasse passer les faux... c est le debut de la dictature et la porte ouverte a la corruption
.. appliquons les lois,et ne laissons pas les hors-la-loi s afficher en ville sans sanction ferme!
cela evitera peut etre les derapages par la suite