Une récente étude de l’Insee indique que chaque année, entre 2003 et 2013, le Grand Lyon, ancêtre de la Métropole, affichait un solde positif de 4000 emplois salariés et 3000 établissements créés. "Une statistique satisfaisante" pour David Kimelfeld qui veut toutefois "rester modeste, ce n’est pas la Métropole qui crée des emplois, ce sont d’abord et avant tout des chefs d’entreprises et les salariés. La Métropole est là pour accompagner le mouvement, pour faire levier. Mais c’est bientôt bienvenu dans un contexte compliqué".
Les chiffres ne sont toutefois pas "spectaculaires" par rapport aux autres agglomérations françaises. "On a un poids démographique avec une nouvelle arrivée d’habitants de manière annuelle importante, ce qui montre l’attractivité de la Métropole mais nous oblige à répondre aussi à la création d’emplois pour toutes ces personnes qui arrivent".
L’attractivité profite également au Nouveau Rhône qui accueille de nouvelles entreprises. Mais le cas de Blédina, qui doit transférer son siège de Villefranche à Limonest, ulcère les élus du Département et de la Calade. "Il faut se réjouir que Blédina reste dans le pôle métropolitain, tempère David Kimelfeld. Et reste à proximité de Villefranche. C’est plutôt une bonne chose".
Malgré ce dynamisme, le chômage dans la Métropole et le Rhône ne faiblit pas. "Il faut être très attentif à la pérennité, aux trois ans qui suivent la création d’une entreprise. Il faut renforcer les dispositifs qui accompagnent encore mieux ces jeunes entreprises".
Sur le cas de Cenntro Motors, qui sera fixé ce vendredi, David Kimelfeld s’engage "à appuyer l’implantation d’entreprises sur ce secteurs".
Enfin, sur la campagne des régionales qui a connu de nouveaux départs de candidats socialistes sur la liste de Jean-Jack Queyranne, le patron de la fédé du Rhône veut tirer un trait sur l’animosité ambiante. "Quand on est premier secrétaire du PS, dire que l’on n’a pas une part de responsabilité dans les épisodes que l’on vient de vivre, ce serait un gros mensonge".
Ca Jazz à Lyon est à retrouver tous les matins à 8h10 sur Jazz Radio 97.3 et en podcast sur LyonMag.com
Exact, les entreprises non ni besoin de Kimelfed, ni de Collomb, exception: Vinci et Aulas car ce sont leurs potes: Aulas n'est pas massacré,bien au contraire, terrains presque gratos, tramway personnel,et routes personnelles+20M€ de l'Etat. Généreux les socs avec l'argent des autres
Signaler RépondreKimefeld est content de lui et il pense que les entreprises dépendent de lui. C est dommage mais les entreprises n ont pas besoin des Socialistes qui matraquent les entrepreneurs
Signaler RépondreTrop de concentration sur Part Dieu, qui va devenir invivable et inaccessible.
Signaler RépondreTrop d'investissement sur le centre au détriment des périphéries.
Trop d'entorses au #BienVivre au profit des intérêts privés : qualité de l'air, Transports en Communs...
Le stade des lumignons, voilà le dynamisme du Parti des Stades, un projet rayonnant, structurant, fait pour satisfaire le bon peuple, pendant que nos élus continueront leur forfaiture.
Signaler RépondreEt la démission, c'est pour quand ?
Signaler Répondrene peut on pas parler plutôt de :
Signaler Répondre"1"- dynamique des augmentations des élus
"2"- dynamique de la collecte fiscale pour assurer la couverture du "1"
il est où le "dynamisme de la métropole"
Signaler Répondredes faits concrets svp