Pour cela, le géant pharmaceutique français dit "réfléchir à toutes les options" stratégiques pour sa division de santé animal Mérial, et pour ses activités dans les génériques en Europe.
Autrement dit, Sanofi envisage de se séparer de sa filiale basée à Lyon. D’autres pistes ont été évoquées, comme l’introduction en bourse, la co-entreprise, ou bien le maintien au sein du groupe. "Les synergies qu’il est possible de dégager avec les autres activités de Sanofi restent limitées", se justifie le groupe dans un communiqué.
Merial, spécialisé dans les vaccins vétérinaires et les médicaments pour animaux de compagnie, emploie près de 1500 personnes dans l’agglomération lyonnaise, pour un chiffre d’affaire estimé à 2,4 milliards d’euros en 2015.
Si elle pouvait devenir indépendante et non rachetée par quelqu'un, peut être que ça créerait des emploi dans l’administratif...
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