Ainsi, quand le niveau de l’eau du Rhône est trop bas, les péniches situées à hauteur du quai Sarrail peuvent reposer directement sur des talus. Une situation plutôt gênante puisque le lieu de vie des familles penche alors d’un côté.
Geneviève Brichet, porte-parole de Rhône-Alpes habitat fluvial vit depuis 33 ans sur l’une des péniches des quais du Rhône. Selon elle, "il est évident qu’il faut draguer. Il suffit juste de le faire une fois tous les dix ans, mais correctement. Aujourd’hui ils n’enlèvent que le sable sous quelques péniches lors des opérations de dragage alors que la véritable solution serait de draguer l’ensemble dans le même temps". Pour Geneviève Brichet, la décision d'arrêter de s'occuper du fleuve est intervenue en 2005, lors du le transfert de l’affectation des bas-ports, des Voies Navigables de France à la communauté urbaine.
L’ancienne élue du 6e arrondissement ne comprend surtout pas où partent les 3 500 euros qu’elle paye chaque année à la collectivité pour habiter ici. Mais pour la Métropole de Lyon, c'est simple : les opérations de dragage coûtent trop cher. Selon Roland Bernard, responsable du fleuve et de ses aménagement, "des dragages pour un montant total de 367 000 euros ont été réalisés en 2008, 2011 et 2013… Et le sable finit toujours par revenir". "Le privilège des familles qui habitent sur ces péniches a duré assez longtemps. Le sable est un élément naturel, que pouvons-nous faire ? Si les occupants des péniches veulent payer, alors là pas de soucis", lance-t-il.
Geneviève Brichet, ainsi que les embarcations de quatorze autres familles, pourraient donc être obligées de déménager à Vaise, sur la rive droite des quais de Saône.
Je n'ai pas lu le blog mais je sais que pour avoir un emplacement, indépendement du loyer régulier, il faut payer le prix fort à l'arrivée sur l'emplacement.
Signaler RépondrePour savoir la vérité il faut lire un article sur un blog de penichiés? Tu rigoles, trop de privilège ils paient rien profites du stationnement.,, Qu ils se déplacent et cessent de se plaindre
Signaler RépondrePour savoir la vérité sur les coûts et les recettes que les péniches logement rapportent à la Métropole, voir l'article dans penicheslyon.blogspot.com.
Signaler RépondreOn y constate que les taxes payées par les péniches sont plus importantes que les dépenses effectuées !
Donc non, le péniches ne coûtent pas à la collectivité, elles rapportent!
ça serait compréhensible non?
Signaler Répondrej'ai lu 14 familles: 14*3500 euros de loyer par an=49000
cela semble très faible comme loyer, surtout vu le prix d'un dragage
je ne suis pas à fond pour les boites de nuit, restos et tout ca, mais la ville doit optimiser ses ressources
donc cela va mettre un terme à tous ce genre de cadeaux
Quelque chose me dit que la Mairie et la Communaute Urbaine n'auront pas du tout le meme comportement quand ces peniches auront ete remplacees par des peniches commerciales hebergeant bars et restaurants, qui sont bien plus rentables....
Signaler RépondreCe n'est pas lamentable, c'est réaliste! Je ne vois pas pourquoi l'argent du contribuable doit être depensé pour le confort d'une poignée de bobo nanti des queues de Rhône!
Signaler RépondreTant mieux !
Signaler RépondreLa communauté n'a pas à payer pour ces bobos.
Geneviève Brichet, ainsi que les embarcations de quatorze autres familles, pourraient donc être obligées de déménager à Vaise, sur la rive droite des quais de Saône.
Signaler RépondreEXCELLENTE IDEE, ça donnerait un bout de justification à l'existence de ce foutu pont Schuman qui ne sert à rien.
Roland Bernard, responsable du fleuve et de ses aménagement, "des dragages pour un montant total de 367 000 euros ont été réalisés en 2008,
Signaler Répondre2011 et 2013… Et le sable finit toujours par revenir". "Le privilège des familles qui habitent sur ces péniches a duré assez longtemps.
C'est lamentable de parler des gens comme ça, surtout d'élus autrement priviligiés issus de la gauche caviar chère à Collomb.
Et la notion de service publics? Les montagnes sont des éléments naturels. Pourquoi installer l'électricité dans un village perdu de la
savoie, pour ces priviligiés qui bénéficienr d'air pur et d'eau fraîche, puisque cela coûte très cher.
Laisson donc le rhône s'ensabler et laissons gérer le Rhône par Monsieur Bernard, de la seule manière qu'il n'ait jamais connue: par le vide, comme son esprit, qui lui est ensablé depuis longtemps. Quand les cons voleront....
On a les élus qu'on mérite, il est temps d'en changer.
signé : Un ex socialiste, non priviligié, qui n'habite pas les péniches.
Roland Bernard, responsable du fleuve et de ses aménagement, "des dragages pour un montant total de 367 000 euros ont été réalisés en 2008, 2011 et 2013… Et le sable finit toujours par revenir". "Le privilège des familles qui habitent sur ces péniches a duré assez longtemps.
Signaler RépondreC'est lamentable de parler des gens comme ça, surtout d'élus autrement priviligiés issus de la gauche caviar chère à Collomb.
Et la notion de service publics? Les montagnes sont des éléments naturels. Pourquoi installer l'électricité dans un village perdu de la savoie, pour ce priviligiés qui bénéficie d'air pur et d'eau fraîche, puiique cela coûte très cher.
Laisson donc le rhône s'ensabler et laissons gérer le Rhône par Monsieur Bernard, de la seule manière qu'il n'ait jamais connue: par le vide, comme son esprit, qui lui est ensablé depuis longtemps. Quand les cons voleront....
On a les élus qu'on mérite, il est temps d'en changer. Un ex socialiste, non priviligié, qui n'habite pas les péniches.