Le nombre exact n’a pas été précisé, mais il ne serait pas conséquent, selon François Gaillard, le directeur de l’Office du Tourisme de Lyon : "Aujourd’hui, on n’a pas un nombre important d’annulation. On a en, bien sûr, c’est normal, mais globalement, les gens attendent pour savoir s’ils maintiennent ou non leur déplacement à Lyon."
La décision doit être prise par les autorités dans les heures qui viennent : "Il y a des enjeux importants de différents ordres sur cette fête. Il y a un enjeu économique évident, un enjeu de rayonnement important, et c’est aussi une fête à laquelle les Lyonnais sont attachés. Donc tous ces paramètres sont à prendre en compte et à mettre en face des paramètres de sécurité qui sont prioritaires. Et c’est bien ce qui rend la décision difficile à prendre", analyse le directeur de l’Office du Tourisme.
Et les appels de touristes, inquiets du maintien ou non de la Fête des Lumières, ne cessent d’augmenter au Pavillon de la place Bellecour. Plus généralement, le comportement des touristes à Lyon n'a pas changé depuis les attentats de Paris : "Les gens qui sont déjà à Lyon veulent profiter de la ville. Ils nous questionnent surtout sur les ouvertures des établissements, des musées notamment. Mais il n’y a pas d’inquiétude particulière".
gardons nos traditions *
Signaler RépondreIl serait, en effet, plus sage d'annuler cette fête à laquelle les lyonnais sont pourtant particulièrement attachés mais notre maire ne peut pas prendre cette responsabilité-là même s'il y a des enjeux économiques importants. Il y aura d'autres fêtes des lumières. N'étant pas croyante, le 8 décembre, je mettrai pour la première fois des lumignons sur mon balcon, ils seront bleus-blancs-rouges. Une façon de montrer que nous les croyants, les agnostiques ou athées sommes tous unis.
Signaler RépondreIl est évident qu'il y a un risque énorme, mais comme l'an passé, ou comme l'année prochaine.
Signaler RépondreAvez vous oublié Dijon ou Nantes, avec des tarés qui ont foncés dans la foule en voiture ?
L'annulation s'il elle a lieu le sera à cause de l'état d'urgence, pas à cause du risque.
Même si cela dérange de le dire, au XXIème siècle, partout ou il y a des musulmans, il y a des islamistes. Ce n'est pas un amalgame, c'est un fait, le déni n'y changera rien.
Il y a désormais plein de musulmans en France, donc le risque est élevé, infiniment plus élevé qu'un pays qui n'a pas de musulman.
Un jour, peut être le verrons nous, il pourra y avoir des musulmans sans islamiste, ou pas.
En attendant il ne me semble pas nécessaire d'agir selon leurs souhaits, ni des uns, ni des autres.
Certes une annulation représente un réel manque à gagner pour les commerçants mais il arrive un moment où, compte tenu des circonstances que nous connaissons, du risque potentiel pour un rassemblement, déconseillé lorsque ns sommes en état d'urgence,il faut choisir en l'argent et la vie.
Signaler RépondreLes gens sont fébriles, angoissés, le moindre bruit peu provoquer un mouvement de foule hyper dangereux, on l'a vu récemment.
Pour moi le choix est vite fait et je pense qu'il faut s'orrienter vers une annulation
Bon sens oui ...
Signaler RépondreEntre perdre la face et perdre la vie
Signaler RépondreOn sait que la région lyonnaise risque autant que Paris
Et si on en revenait simplement à l'origine et à l'essence même des illuminations: les lyonnais mettent des lumignons à leurs fenêtres,prient la Vierge Marie pour lui confier Lyon sous sa protection...
Signaler RépondreTout le pb est d'identifier les risques, pb difficile à moins d'être madame Soleil, mais une fête dont l'utilité est avant tout mercantile doit être annulée si les risques ne sont pas maitrisés,sinon on joue avec la vie des gens pour le bon plaisir des marchands du temple
Signaler Répondreil fout oublier les fêtes de fin de année car les temps est très difficiles surtout pour la sécurités je conseilles les gens de se faire passer ce fêtes entre eux en familles
Signaler RépondreNous aurons, je pense, une demi-mesure, c'est à dire que l'on gardera le minimum de festivité afin de ne pas perdre la face et préserver des mouvements de foule.
Signaler RépondreDe toutes façons, la fête initiale du 8 décembre avec ses lumignons aux fenêtres était la plus belle et la plus sympathique.