Si le procureur de la République avait requis trois mois de prison à son encontre, l'homme a finalement écopé de 100 jours amende à 15 euros.
La justice lui reproche d'avoir enfreint la législation sur les armes. Il faut dire que lors de la perquisition effectuée sur place, les policiers avaient retrouvé dans la cuisine et la salle de billard du bar une épée, une dague à tridents, une machette, un poignard, une crosse de fusil de chasse et des munitions.
Le gérant du Briganti a expliqué être un collectionneur d'armes anciennes et estime avoir été la cible d'une dénonciation calomnieuse dans le cadre de l'état d'urgence.
Son bar restera fermé durant trois mois sur décision du préfet du Rhône, Michel Delpuech.
Clairement il ne risquait pas de faire beaucoup de mal avec ces vieilleries...
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