Pour cela, il faut être en bonne santé, et avoir entre 18 et 65 ans. Les volontaires doivent bénéficier d’un régime de sécurité social. Les femmes ne doivent pas être enceinte ou en période d’allaitement. Il ne faut pas non plus "participer simultanément à une autre recherche biomédicale, ou donner son sang pendant la durée de l’essai", précise l’Inserm.
L’institut national de la santé et de la recherche médicale coordonne le projet EBOVAC2, dont l’objectif est de "répondre à la forte épidémie du virus Ebola pour conduire des essais cliniques de phase 2 afin d’étudier l'efficacité de la réponse immunitaire déclenchée par une stratégie vaccinale préventive et prometteuse prime-boost".
"La durée de participation de chaque volontaire est de 1 an. Une indemnité compensatoire est prévue, au prorata du nombre de visites effectuées. Chacun d'entre eux sera examiné et sera suivi personnellement par un médecin de l’étude. Les participants auront entre 9 et 15 visites et recevront soit les vaccins actifs, soit leur placebo. Le participant peut interrompre à tout moment sa participation à l’essai", explique le communiqué, rappelant que les participants n’ont aucun risque d’être infecté par le virus Ebola.
Un numéro vert est ouvert. Il s’agit du 0800 156 156.
C'est plus du volontariat dans ce cas, quand on connait la dangerosité des vaccins, c'est plutôt un aller simple vers le paradis...
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