A l'occasion du 110e anniversaire de la loi de séparation des Eglises et de l'Etat, ils se sont retrouvés sur la place Bellecour avec ce message "Merci Marianne". Ils ont dénoncé l'annonce "Merci Marie" qui "limite la réappropriation par la population de cette fête. Et surtout interroge sur l'implication de la collectivité évidemment incompatible avec des évocations de figures bibliques et de mythes chrétiens".
Le Poing Commun avait déjà fait parlé de lui en septembre lors du Voeu des Echevins. L'un de ses membres fondateurs, l'élu du 1er Elliott Aubin, avait appelé au boycott de l'évènement par les politiques lyonnais.
Marianne n'est plus ,et la laïcité enfermé dans une mosquée.
Signaler RépondreMoi j'aime bien toutes ces lumières ... c'est un beau symbole dans l'obscurité. Catholique ou non, le symbole du 8 décembre est universel...
Signaler RépondreQuand est ce que le #merciemarie va être démonté? Déjà plus de 10 jours qu'il est imposé à la vue de tous.
Signaler RépondreBravo!
Signaler RépondreParce que quand Marie parle à certains, Marianne s'adresse à tous!
Le Maire de Lyon encourage le communautarisme, c'est un incendiaire!
Parce que le communautarisme, c'est la guerre!
Vive Marianne! Vive la Paix! Vive la Vie!
vive la laicité !!!!!!!
Signaler Répondrevive le poing commun!!!!!!
il y en a qui n'ont que ça à faire de balancer de l'huile sur le feu
Signaler RépondreLes cathos récupère vraiment out hein, même le 8 décembre ...
Signaler RépondreOui bah justement, parlons-en, de l'histoire : une fête apparemment calée volontairement sur une fête païenne, et une église bâtie après l'écrasement d'une révolte ouvrière, comme Montmartre, d'ailleurs... Donc "Merci Marie", j'ai tendance à penser que ce n'est pas vraiment ce qui reflète le mieux la situation, en tout cas qu'on a le droit d'y répondre.
Signaler RépondreLe 8 Décembre restera la Fête de Marie. Et la loi sur la séparation Etat et Eglise est encore bien trop incomprise pour en faire une fête. La laïcité est marquée dans la Constitution, pas besoin de nous la rabâcher à toutes les sauces.
Signaler RépondreDu temps à perdre ? Peut-être. Mais visiblement, beaucoup de nos politiques n'ont pas de temps à perdre pour la laïcité, alors je ne trouve pas ça plus mal qu'il y ait des gens qui s'en occupe. En l'occurrence, c'est une action symbolique, ça n'embête personne et ça attire l'attention sur un enjeu.
Signaler RépondreHa.
Signaler RépondreÇa, c'est amusant, pour le coup : vous dites qu'on ne doit pas s'écarter de nos racines, c'est à dire de notre passé, et c'est nous qui sommes rétrogrades ? Bon !
Et dites-moi, à quoi est-ce que la laïcité vous force, exactement ? Bon, si j'ai bien compris, vos racines, c'est le catholicisme, pourquoi pas ; est-ce qu'on vous empêche d'aller à la messe, de vivre selon votre vision de la religion, de participer au milieu catholique en France ? Non. On n'a juste pas envie que la République participe à votre vision de comment il faut vivre ou des "racines". La loi de 1905 a maintenant cent dix ans (justement !), vous ne m'avez pas l'air trop déraciné !
Cerise sur le gâteau, la dernière allusion : l'association est en réalité en mission pour "favoriser l'apparition des mauvaises herbes qui pousseront sur un sol devenu désertique"... Les initiés comprendront bien sûr qui sont les mauvaises herbes ! Mais alors je vous écoute, vous pensez que Le Poing Commun fait partie d'un vaste complot destiné à islamiser la France grâce à la laïcité ? Ça s'annonce passionnant, racontez-nous ça.
Allez, on ne va pas vous les voler, vos racines. Vous avez même le droit de fantasmer sur une hypothétique relance des guerres de religion tant que vous gardez ça pour vous.
très bon ! Tout à fait d'accord avec eux !
Signaler RépondreLeur laïcisme est rétrograde.
Signaler RépondreCes gens veulent nous forcer à vivre coupés de nos racines. Pour favoriser l'apparition des mauvaises herbes qui pousseront sur un sol devenu désertique...
oui, ils ferait mieux de l'utiliser pour plonger la tête dans des livres d'histoire...
Signaler RépondreCertains ont vraiment du temps à perdre...
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