Pour limiter les dégâts, les conseils sont simples et cela commence avant même les grands repas. "Il faut éviter de grignoter. Il va falloir tourner la tête et dire non aux sollicitations en dehors des heures de repas, notamment les chocolats, les marrons glacés ou encore les pâtes de fruits sur son lieu de travail. Après ce que l’on peut aussi faire, c’est diminuer les quantités", affirme Anne-Marie Costille, diététicienne et nutritionniste à Lyon.
On estime en moyenne entre 3 et 5 le nombre de kilos que l’on peut prendre pendant les fêtes de fin d’année ; pas question pour autant de ne pas se faire plaisir. "Bien sûr que l’on peut !", confirme Anne-Marie Costille qui cite en premier exemple le foie gras. "Dans l’esprit de beaucoup de personnes, c’est un plat extrêmement riche. Je pense qu’on peut en manger plusieurs jours de suite ; il n’y a aucun problème puisque ce sont de très bonnes graisses. Le tout c’est de faire attention à l’accompagnement ; on peut par exemple faire une salade de cresson ou une petite salade d’endives et puis pour le côté sucré rajouter une demi-poire bien mûre !", précise la nutritionniste qui suggère également la possibilité de privilégier les poissons "qui sont deux fois moins caloriques que les viandes".
La question des desserts se posent également. "On peut préférer des salades de fruits exotiques avec des ananas, des mangues, des fruits de la passion. Vous pouvez aussi manger de la bûche, mais plutôt une bûche aux fruits glacée ou en sorbet. On évite ainsi la bûche pâtissière très riche en crème, et beaucoup plus difficile à digérer en fin de repas".
Si les petits plaisirs sont trop nombreux pendant les fêtes, là aussi des solutions existent. "Il faut savoir que les kilos peuvent être très vite pris mais aussi très vite perdus, à condition de s’en occuper très rapidement et de ne pas remettre les bonnes résolutions à demain", indique Anne-Marie Costille. "On se reprend en main, on évite de manger entre les repas, on retourne faire son marché, on mange des fruits et des légumes, on fait des soupes gourmandes...", donne comme principaux exemples l’experte. Sans oublier un peu de sport bien sûr !
Ah, pas facile ces temps de guerre comme disent le président et son premier ministre!!!!! Vous reprendrez bien une coupe de champagne, pour remonter votre moral, face a ces ignobles barbares!!!
Signaler RépondreSoucis du 'premier monde'....
Signaler RépondreS'il n'y avait que les repas de Noël...
Signaler RépondreMais il y a aussi (liste non exhaustive) :
- Les séries TV de Noël (téléfilms romantico-cuculs)
- La corvée des magasins pour le petit cadeau oublié de mémé
- Se faire chier sur la route et/ou dans les transports en commun et/ou dans le TGV avec les gamins qui braillent
- Le lendemain du nouvel an et le "bonne année" aux collègues et surtout aux patrons
- Les sapins qui meurent sur les trottoirs après avoir emmerdé tout le monde mais devant le fleuriste
- Les reste de foie gras à finir... et surtout de la volaille de 12 kg sans OGM préparée par la mémé citée plus haut
Normal qu'on soit patraques à la rentrée