Mais mercredi matin, alors qu'une trentaine de Roms ont intégré leur village modulaire de Saint-Genis-les-Ollières, leurs anciens camps de la Feyssine et de Vaulx-en-Velin sont toujours debout. Et habités.
Certains sélectionnés doivent encore être conduits sur le terrain vague de la rue de Provence à Saint-Priest où le second village I2E (Insertion par l'Ecole et l'Emploi) de la Métropole de Lyon est en cours de préparation.
Mais tous les occupants des bidonvilles n'ont pas vocation à profiter du dispositif I2E. Soit parce qu'ils ne sont pas volontaires, soit parce qu'ils ne remplissent pas les critères de la préfecture qui exigeaient d'eux l'arrêt de la mendicité ou de la prostitution par exemple.
Pour ceux-là, les services préfectoraux prévoient deux solutions d'ici les prochains jours : la reconduite à la frontière en cas de situation illégale ou bien le relogement dans des structures d'accueil.
Et ce n'est qu'à ce moment-là que les pelleteuses pourront raser les bidonvilles de la Feyssine (datant de 2011, il s'agit du plus vieux de l'agglomération), de Vaulx-en-Velin et de Saint-Priest. Fin décembre ou début janvier ? Le calendrier reste incertain.
A moins que le Mrap ne freine Michel Delpuech dans son élan. L'association a promis dans un communiqué qu'elle engagerait "les recours juridiques nécessaires auprès des tribunaux français et des instances européennes afin d’obliger le préfet et les associations complices à respecter la loi".
Elle reproche notamment à I2E de proposer des "classes ethniques" (les enfants Roms auront cours dans une classe au sein du village modulaire ndlr), de s'appuyer sur des containers trop chers et de faire des Roms de l'agglomération des "cobayes sur lesquels on peut pratiquer impunément des expériences illégales à des fins mercantiles et politiciennes".
les auteurs des articles pourraient-ils expliquer clairement ce qui se cache sous la phrase "expériences illégales à des fins mercantiles et politiciennes"
Signaler RépondreDissoudre les associations défense de la délinquance et autre conneries,et choisir un immigration respectueuse et intelligente,cela fera descendre le pourcentage de nationaliste .
Signaler Répondre""Métropole de Lyon : pourquoi les bidonvilles de Roms n’ont pas encore été démantelés ?""
Signaler RépondreTout simplement parce qu'il en arrive d'autres . . et qu'au lieu de les expulser, on les loge et on les nourrit.
les conditions de vies des anciens harkis sont de retour.
Signaler RépondrePour le moment seulement 6 familles du camp de la Soie ont t emmenes sur St Genis. Depuis, d'autres sont venues s'installer. Il faut les ramener gentiment la frontire, on n'en a marre les riverains !!!
Signaler RépondreC'est pour y loger les migrants !!!
Signaler RépondreOn n'en parle plus (endormissement du peuple oblige) mais ils arrivent toujours par wagons !!!
Réponse à la question de l'article :
Signaler Répondre"Parce que lorsqu'on chasse la misère d'un côté, elle revient de l'autre."
Normal, le fric, y'en a pas pour tous. Bonne guerre commerciale à tous ! :o)
enfin on se pose la légitime question : comment ces containers qui servent d'habitations ont ils pu coûter 2 millions d'euros? on aura peut être une réponse de "jeansais"? ;-) ou aura - t-on le droit à son refrain préfèré : "st genois hauts les coeurs!" ;-)
Signaler RépondreProposons au MRAP de loger les roms à leur frais et de subvenir à leur besoins à leur frais également tout en leur coupant les larges subventions dont ils bénéficient....
Signaler RépondreLe mrap association d un seul mec sur Lyon .
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