"Mon envie c’était de raconter la Guillotière, ses habitants. Ce sont les monuments du quartier", évoque Romain Blachier.
Le récit s’articule autour d’une trentaine de portraits semi-fictifs : "C’est un mélange de gens qui existent. J’ai un personnage de restaurateurs chinois, c’est un mélange de trois chefs du 7e. On les reconnaîtra très bien si on connaît le quartier. Ca peut être des stéréotypes comme ce personnage de grand-mère portugaise, la première communauté de la Guillotière, qui est totalement créé avec un vécu réel".
"On a beaucoup de livres sur la Croix-Rousse mais pas grand-chose sur la Guillotière et je voulais montrer ce que c’était devenu, la Guillotière en 2015. La plupart des livres sur Lyon sont des livres d’histoire. Il fallait montrer le patrimoine vivant, ce qu’est ce quartier et en faire la promotion avec des nouvelles joyeuses, d’autres moins. Parce que la Guillotière, c’est la vie".
Ca Jazz à Lyon est à retrouver tous les matins à 8h10 sur Jazz Radio 97.3 et en podcast sur LyonMag.com
D'accord avec toi Romain.
Signaler RépondreGauche, droite on s'en fout!!!c'est un bouquin qui rends hommage aux femmes et hommes d'un quartier emblematique de Lyon!!!
Signaler RépondreChapeau pour ton livre Romain!!
Je veux bien que tu me le dedicace un de ces jours...
Les fantasmes de gauche font moins rêver que les fantasmes sexuels.
Signaler RépondreGuillotière(s) fera moins de vente que 50 nuances de Grey.
sansdec, tu dec!!!!j'habite la guillotiere depuis plusieurs 10zaines d'annees et rien de tel....et surtout c'est 1 territoire qui mute sans perdre son identite...et c'est tant mieux que les sans abris qui y ont leur principal lieu d'accueil(quoiqu'on en pense) y soient toujours...pour le reste...c'est la vie dans la ville..
Signaler RépondreJ'ai juste failli m'y prendre une barre de fer sur la tronche, me suis pris diverses mains aux fesses, deal dans l'allée d'immeuble et flics qui ne viennent pas, clodos dans la cave qui font griller leur pique-nique, vomi le matin histoire de patauger un brin, hurlements des putes sur le trottoir voisin dans la nuit, porte et boîte aux lettres fracturées, j'en passe...Mais sinon,c'est vrai qu'on peut aussi se prendre un pain ailleurs dans Lyon.
Signaler Répondre