Réunies devant le tribunal correctionnel dans le 3e arrondissement, la cinquantaine d'opposants étaient munies d'une banderole "Ni procès, ni expulsion".
Une référence et un soutien à l'audience de Nantes durant laquelle la demande d'expulsion émanant de Vinci et concernant une quinzaine d'habitants et d'agriculteurs du site qui doit accueillir l'aéroport de Notre-Dame-des-Lande était étudiée à Nantes. La décision de justice sera connue le 25 janvier. D'ici là, de nouveaux mouvements de contestation sont à prévoir.