Depuis les attentats du 13 novembre, 450 perquisitions ont été exécutées dans la région. Seulement, ces nouvelles procédures ne viseraient pas à combattre le terrorisme mais le trafic de drogues, selon Patrick Canin, président de la fédération du Rhône de la LDH.
Pour ce professeur de droit, "l’objectif est de dénoncer toutes ces dérives totalement inadmissibles". Quelques plaintes ont été recueillies concernant des perquisitions jugées abusives. C’est pourquoi le Syndicat des avocats a répondu présent à l’appel de la LDH, afin de "recenser tous les abus".
Pour les experts de l’ONU, la France impose des "restrictions excessives et disproportionnées sur les libertés fondamentales" et préconisent à l’Hexagone ne pas prolonger l’état d’urgence après le 26 février.
A quand l'observatoire des dérives des associations et des syndicats ?
Signaler RépondreJ'en connais déjà 2 qui seraient jugés pour complicité avec le grand banditisme.
Faut arrêter la fumette le matin. Vous devriez plutôt remercier cette association de protéger nos droits collectifs.
Signaler RépondreLa protection des droits ce n'est pas la complicité du terrorisme, arrêtez de raconter n'importe quoi !
Vouloir arrêter le trafic de drogue grâce à l'Etat d'urgence serait donc "une dérive totalement inadmissible"? Et ce n'est pas prouvé, c'est plutôt l'effet d'aubaine, on cherche des armes et on trouve de la drogue!
Signaler RépondreMerci d'enfermer les islamo-gauchistes de la Ligue des Droits de l'Homme qui se font les complices des assassins.