"Il a fermé la porte à clé, et je me suis sentie pas bien. Il m’a dit : maintenant tu te déshabilles entièrement. Quand il a dit ça, il a mis sa main sur son arme et j’ai eu peur. Je me suis mise en culotte et en soutien gorge, il a touché ma culotte. Il me faisait peur, il avait une respiration super forte, on aurait dit un taré..."
C’est le récit pénible livré à la barre du tribunal par une jeune femme venue initialement déposer plainte le 27 novembre 2011 au commissariat de Villeurbanne pour les coups qu’elle venait de subir les coups de son compagnon.
C’est Fabien Gassaux, un policier en poste au sein de la Base Technique Divisionnaire (BTD), une unité de l’identité judiciaire, qui va prendre en charge la jeune femme afin de prendre des photos de ses blessures.
Mais alors que l’ensemble de ses collègues se contentent de prendre les clichés des blessures établies par les certificats médicaux rédigés par les médecins, sans jamais pousser le zèle jusqu'à déshabiller entièrement les victimes, lui va plus loin.
Il fait monter les femmes dans un bureau très isolé au cinquième étage du commissariat. Il prend soin de fermer la porte à clé et intime l’ordre de se dévêtir entièrement quand bien même les victimes déclarent des blessures seulement aux visages ou juste sur un orteil.
Huit femmes ont déposé plainte pour agression sexuelle contre Fabien Gasseaux. Mais l'IGPN, la police des polices, a mis au jour onze cas potentiellement victimes des agissements de cet ancien policier, révoqué de la police nationale le 7 août 2012. Mais Fabien Gasseaux a déposé un recours devant le tribunal administratif (toujours à l'étude) et espère réintégrer la police nationale.
Perfectionniste
Dans ce huis-clos crispant, Fabien Gassaux se livrait alors à un long et minutieux examen de toutes les parties du corps des plaignantes. Il leur demande de retirer leur soutien-gorge "parce que l’armature du soutien-gorge laisse des traces sur la peau, et qu’il faut être certain qu’il ne s’agit pas de traces de coups", assène-t-il sans sourciller à la barre du tribunal.
Main tremblante et respiration forte, il explore le corps des jeunes femmes dans une proximité gênante au moyen d’une lampe torche. Il se met à genoux devant elles. Leur fait poser une jambe sur son genoux et explore l’entre-jambe, toujours à la recherche de traces de coups, argue-t-il.
"Madame la Présidente, je suis un perfectionniste. Ma manière de procéder est un quadrillage de la personne pour ne rien rater. Cette méthode, je ne la tiens de nulle part, je l’ai mise au point pour être le plus efficace possible", se défend-il, semblant totalement dépourvu des plus élémentaires règles de conventions sociales liées au savoir-être.
Jamais sur les hommes
Étonnamment, cette méthode si sophistiquée à ses yeux, il ne l'a jamais pratiquée sur les hommes.
"Trois victimes de violence de sexe masculin qui avaient fait l’objet de photographies, déclaraient que le policier ne leur avait pas demandé de se mettre en sous-vêtements, mais uniquement torse-nu et seulement lorsque la localisation de leurs blessures le justifiait", est-il écrit dans la procédure.
Lorsque la présidente du tribunal lui demande les raisons qui le conduisent à examiner les victimes bien au-delà de l’auscultation des médecins, il répond "que les médecins ont pu passer à côté de quelque chose".
Lors de la phase d’enquête, ses collègues ont déclaré qu’ils ne demandaient jamais aux victimes de se déshabiller entièrement, qu’ils ne les touchaient jamais et que certains n’utilisaient jamais le bureau du cinquième étage.
D’autres, frappés du coin du bon sens, estimaient qu’ils auraient fait appel à un collègue de sexe féminin pour réaliser des photographies des parties non visibles sur les corps des victimes.
En défense, Fabien Gassaux affirme que sa hiérarchie ne l’a jamais formée en dépit d’une vingtaine de demandes restées sans réponse. Que les collègues de sexe féminin étaient totalement absente de son service.
"Y a pas de formation pour ça..."
Me David Metaxas, l’avocat d'une partie civile, a repris au vol l’argument. "La défense va plaider la faute de la hiérarchie qui n’a pas formé son fonctionnaire. Mais y a pas de formation pour ça. Il n’existe aucune formation pour interdire à un homme d’emmener une jeune femme au 5e étage d’un commissariat de police dans une salle dont il a les clés et de la faire déshabiller".
Me Metaxas ajoute en référence à la reconversion de Fabien Gassaux dans la sécurité privée depuis son départ de la police : "Vous imaginez une seule femme dans les locaux de sécurité d’un centre commercial privé avec cet homme-là ? Vous en tirerez toutes les conséquences", a-t-il argué à l’adresse des membres du tribunal.
Me Hervé Banbanaste, l’avocat d’une autre victime, s’est dit inquiet : "Pas une once de remise en cause. En plus, il se pousse du col. C’est un grand professionnel ! Il est pointilleux et perfectionniste et il veut redevenir policier ! Mais nommez-le à la brigade des moeurs ! Les bras nous en tombent ! La confiance publique, c’est important. Quand on va chez son notaire, son médecin, on fait confiance et cette confiance publique vous l’avez trahie monsieur. On voit ça dans quel pays ? On voit ça dans les pays sans Etat !"
18 mois avec sursis
Le ministère public a requis 18 mois d’emprisonnement, dont 12 avec sursis. Me Gabriel Versini, avocat de Fabien Gasseaux, a débuté sa plaidoirie quelque peu surpris, mais confiant : "18 mois, c’est bien peu..." Il s’attendait à beaucoup plus. Il n’est pas le seul. Délibéré en février.
Slim Mazni
Il est certain qu'il a du voir des choses horribles ! Et il n'a pas porté plainte pour autant
Signaler RépondreQuel professionalisme ! Moi j'aurais bien aimé une telle implication dans le souci du travail bien fait.
Signaler RépondreC'est quitte ou double, il y a les femmes à qui on refuse des plaintes parce qu'elles ne saignent pas, et d'autres où non seulement elles sont crues, prises en compte, peuvent porter plainte et le policier prefectionniste. Bon, un juste milieu entre les deux serait peut-être pas mal mais quitte à choisir, je prends le policier qui me désabhille. Enfin, je ne sais pas, mon message est à la fois ironique et interrogatif. Oui, je n'ai pas assisté à cette audience mais dans vos commentaires, les femmes qui se disent victimes sont un peu les oubliées, elles ne sont pas toutes des affabulatrices quand même, si elles ont ressenti ça comme de l'irrespect, on peut quand même accepter ça non ?
quel jour le délibéré ?
Signaler RépondreDans ce genre d'affaire c'est toujours compliqué. On met tout une profession dans le même sac. Il y a de très bon policiers, qui font leur métier avec passion (ou du moins essaient), mais lorsque l'on donne un tout petit peu de pouvoir à certains, ils franchissent les limites et en profites. C'est humain, c'est arrivé et ça arrivera encore.
Signaler RépondreNéanmoins, lorsque l'on a la chance d'épingler ce genre de malade, il faut être ferme et intransigeant !
La bonne blague !
Signaler RépondreDans le 1°)
Alors comme ça les journalistes sont là pour "informer d'une manière neutre" ? Sans aucune conscience ni avis personnel ? Les journalistes du Figaro, de l'Humanité, du Progrès sont neutres ???
Sachez monsieur qu'aucune information n'est neutre. Le fait même d'en parler ou de ne pas en parler ce n'est pas "neutre".
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Mais à lire correctement l'article de M. Mazni, je ne vois pas où sont les propos qui vous gênent.
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Précision sur la présomption d’innocence : en reportant ne serait-ce les accusations, la "présomption d'innocence" est déformée. Ajoutez les témoignages, et... la blancheur n'est plus. Mais reporter des accusations sur quelqu'un n'est pas le condamner comme un juge.
La présomption d'innocence est un terme qui s'applique au domaine de la justice, non aux avis ou à la pensée.
Pour ces derniers, il y a le terme de diffamation.
Mais nulle part le journaliste dit "il est coupable".
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2°) "Des citations inexactes, incomplètes et déformées."
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Est-ce que les minutes d'un procès indiquent l'ironie ? L'air moqueur ? A voir.
Posons nous des questions sur un avocat qui fait de l'humour pour défendre un client... Soit, il est libre de le faire. Mais est-ce la bonne stratégie ou éthique dans un tribunal ?
.
Slim Mazni, un des rares journalistes à Lyon qui n'a pas peur de faire son métier.
Marre de tous ces policiers corrompus qui prennent la défense de leur collègue sur ce forum. Faut pas s'étonner après que les gens vous aiment pas. Le journaliste n'a aucune raison de mentir. Vous devriez avoir honte, vous vous croyez où ? C'est l'État d'urgence qui vous fait croire que vous pouvez intimider les gens en toute impunité ? On vous laissera pas faire et votre collègue sera condamné.
Signaler Répondrepetites pressions entre amis
Signaler RépondreApparemment, les policiers lyonnais ont du mal avec ce journaliste:
Signaler Répondrehttp://www.lepoint.fr/societe/un-journaliste-lyonnais-entendu-par-la-police-31-10-2014-1877646_23.php
Détendez vous, ca va aller. ^^
Et toi tu es complètement con !!! Tu te prends pour qui ???
Signaler RépondreTu essaye de défendre un pauvre pervers accusé par HUIT femmes !! c'est toi qui crée un polémique bidon, ton pote le pervers policier plongera bien au fond d'une cellule quelques années si la justice fait son travail
Signaler RépondreÉtonnamment pour quelqu'un de si méthodique et "professionnel", il n'a jamais appliqué sa "méthode" sur les victimes masculines, ni exploré le moindre cm² de leur corps... donc pour l'argument professionnalisme c'est mort, reste ses instincts de prédateurs en somme...
Signaler Répondrequand on sait qu'un policier qui tire une balle dans le dos et tue quelqu'un c'est "légitime défense" et acquittement, il y a peu de chance qu'il soit inquiété au final, et le comble, il sera peut-être même réintégré dans ses fonctions alors arrêtez de vous plaindre et de victimiser un potentiel (!!) prédateur et l’invocation de la présomption d'innocence est vraiment à géométrie variable hein comme c'est commode... cet argument du "complot" est juste ridicule, si sa hiérarchie pouvait étouffer ce genre d'affaire qui vient salir la réputation de la police, elle le ferait sans hésiter donc arrêtez de croire que c'est lui la victime juste pour entretenir vos biais intellectuels
Sèb a écrit : "" Donc le tribunal sert à juger uniquement des personnes coupables c'est bien ça ??? Non mais heureusement qu'il n'y a pas que des gens comme vous....
Signaler Répondre100% de soutien à ce policier !!!!!
Quant à ce pseudo journaliste eh bien je lui souhaite de ne jamais avoir affaire à une telle situation."""
Si ce monsieur, après enquête, instruction et autre, est cité comme prévenu devant le Tribunal, c'est bien que des éléments de culpabilité ont été établis à son encontre, mais c'est, bien évidemment au tribunal de le déclarer coupable ou non et de le condamner ou pas. Chaque prévenu peut avoir un " comité de soutien", ceci ne préjugeant en rien de la suite donnée par la Justice
Toute ma compassion envers les femmes victimes. On a vraiment un problème sur les violenced faites aux femmes. Il serait temps que ça cesse.
Signaler RépondreMalheureusement plus rien ne m'étonne aujourd'hui...
Signaler RépondreJuste une remarque : Les juges ont pris le pouvoir depuis quelques années et, s'abritant derrière le masque de la défense des droits de l'homme en fustigeant les "dérives de l'état d'urgence", c'est un combat acharné qu'ils mène contre l'état (qui tente faiblement de restaurer son autorité) .
Intéressant non ???
Signaler Répondrehttp://oumma.com/Lyon-Mag-condamne-pour-diffamation
Erreur mon cher je me fous du respect des voyous mais c'est la justice qu'il convient de respecter.
Signaler RépondreVous insultez tout autant l'institution judiciaire en blanchissant ou en condamnant ce policier avant le procès.
Il faut respecter à la fois la présomption d'innocence et la peine des potentielles victimes.
Le reste c'est du blabla polémique
Donc le tribunal sert à juger uniquement des personnes coupables c'est bien ça ??? Non mais heureusement qu'il n'y a pas que des gens comme vous....
Signaler Répondre100% de soutien à ce policier !!!!!
Quant à ce pseudo journaliste eh bien je lui souhaite de ne jamais avoir affaire à une telle situation.
Comme tous les prévenus, il est innocent. Avant de le citer devant le tribunal, il y a eu des enquêtes, le Procureur est intervenu, peut-être le Juge d'Instruction ; c'est donc qu'ont été réunis à son encontre des éléments de culpabilités, sinon il ne serait pas cité devant le Tribunal.
Signaler Répondrey'a surtout des gros lourdingues comme toi qui font 2 fautes d'orthographe (Tof çà doit être l'anagramme de Fot :))sur 1 phrase et qui balancent une citation à 2 balles histoire d'avoir la sensation d'exister :)
Signaler RépondreY'a pas pas de fumet sans feu :)
Ce qui est à l'origine de cette polémique, çà n'est pas une mise en cause de la justice ( elle saura trancher correctement) mais c'est un un article complètement à charge, où les propos sont largement tronqués, dénaturés et où on balance le nom d'un présumé innocent en pâture sur le Net!
Signaler RépondreOn se demande d'ailleurs où est passé " le petit journaleux" qui a pondu çà)??
Bref c'est surtout le procès de ceux qui se prétendent "journalistes" et qui prennent beaucoup de plaisir à déformer la réalité en se foutant de l'impact que çà peut avoir sur les personnes mises en cause et sur l'opinion publique en général.
On ne peut pas écrire n'importe quoi sur n'importe qui, non?
pourquoi perdre du temps avec un procès, l'opinion publique qui ne connait rien des faits sait mieux que le tribunal qui passe du temps sur l'affaire.
Signaler RépondreLa preuve le président sous la pression de l'opinion publique a gracié une meurtrière qui avait été condamnée 2 fois de suite par un jury populaire.
Vous êtes le (la ) premier(e) a vouloir que l'on respecte les voyous donc appliquez ca a vous meme. On dit pas flic mais policier deja. Apres ca vous derange tant que ca qu'il ai des soutiens? Vous soutenez les voyous,laissez les autres soutenir qui ils veulent. Ca c'est la democratie mais pour vous elle ne s'applique qu'à certains. De plus aucun rapport avec l'état d'urgence cette affaire . Tout est bon pour essayer d'instaurer chez vous la confusion.
Signaler RépondreA lire autant de commentaires de flics (?) pressés de défendre leur collègue avant le procès, on ne peut que s'inquiéter des dérives de l'état d'urgence..qui surveille la police ?
Signaler RépondreÉtonnant le nombre de commentaires en soutien à cet homme..on en voit peu sur d'autres faits divers.
Signaler RépondreS'il convient en effet de respecter la présomption d'innocence, laissez au moins la justice faire son boulot avant de blanchir/salir !
Espèce d'écervelé vas lire Closer au lieu de porter des jugements !!! Faut vraiment avoir aucune personnalité pour faire un tel commentaire !
Signaler RépondreLa présomption d'innocence doit être un terme trop intellectuel pour toi !
y a pas de fumer sans feu des pervers y en a parout!!!
Signaler RépondreQuelle honte de tronquer à ce point la plaidoirie de l'avocat du prévenu. C'est vraiment lamentable !
Signaler RépondrePuis-je me permettre d'apporter une petite précision :
"Quand il a dit ça, il a mis sa main sur son arme et j’ai eu peur." > Lors des auditions avec ces femmes, IL NE PORTAIT PAS D'ARMES.
Et ça, c'est vérifié.
Sous la plume acérée de cet éminent journaliste qu'est M. Slim Mazni, l'article veut faire croire que le prévenu était un pervers dangereux et menaçant. Cette diffamation est insupportable et honteuse. Rédigé à partir d'un témoignage totalement incohérent et empli de contradictions, cet article est purement ordurier.
Et la présomption d'innocence !?..!
Signaler RépondreUn accusé n'est ni coupable ni criminel avant délibération et jugement me semble-t-il, pour votre information M. le journaliste.
Quelle tristesse et désolation de voir à quel point certains journalistes peuvent totalement mettre de côté l'éthique journalistique et l'exigence d'objectivité que requiert pourtant ce métier, pour mettre en lumière des scandales de société affabulés.
Quel manque de professionnalisme total.
100 % de soutien pour ce policier victime d'un complot nommé "IGPN" !
Signaler RépondreOn connait la chanson, les plaignantes sont incitées à déposer plainte, l'IGPN est allé toutes les rechercher en leur disant que le policier qui les avait reçu était poursuivi pour des attouchements ou je ne sais quoi.
Ces femmes sont déjà sûrement dans une détresse psychologique énorme car battues par leurs conjoints (parfois pendant plusieurs années)...
A ces femmes on leur dit ou plutôt on les incite à déposer plainte contre ce policier, et elles s'exécutent (ENFIN seulement quelques unes sur plusieurs dizaines que ce policier a pu recevoir, sûrement les femmes les plus fragiles ou celles qui avaient le plus besoin d'argent...).
D'ailleurs pourquoi n'ont t'elles pas toutes porté plainte ? La procédure était la même à chaque fois. Et ces dernières se sont réveillées quand l'IGPN est venu les chercher. Alors pourquoi n'ont elles pas réagi juste après avoir été reçu au commissariat ?? Tout simplement parce que le policier avait fait son travail sans vice ni perversité que ce soit. Le policier prenait les photos car il était responsable de la brigade chargée des traces et indices (et des violences faites aux femmes); brigade ou il n'y avait que des hommes qui pouvaient effectuer ce travail et dont on lui avait confié des responsabilités et des objectifs de résultats sur cette mission. Le lieu ou était pris les photos était bel et bien le local destiné aux photos et aux recherches de traces et indices.
Et tout cela débute avec une première femme, dont le compagnon n'a surement pas apprécié qu'elle aille déposer plainte pour des coups. Avait-elle peur de se refaire boxer s'il elle n'allait pas porter plainte contre le policier qui l'avait reçu ?
Vous l'aurez compris cette affaire est une supercherie. Ils n'auront pas la peau de cet homme intègre. Les plaignantes peuvent se rassurer, ce policier n'a jamais eu de gestes malhonnêtes ou voyeurisme à leur égard.
Faisons confiance à la justice, elle ne pourra pas condamner un innocent; la cause féministe ne repose pas sur ce procès dont ce journaliste mène le mauvais et pitoyable combat !
J'aurais même employé "torche-cul" ! ça ne m'étonne pas des journaleux à sensation...
Signaler RépondreQuelle honte de briser un homme ainsi, je suis outrée des mots assassins et du peu de considération d'un homme envers un autre homme. Vous êtes ignoble.
Signaler RépondreQuoi Merci à Lyon Mag ??? Non mais hallucinant de faire confiance à un tel torchon et surtout un article aussi répugnant que celui qui l'a écrit !!! Mais va te cacher Mazni !!!! Honte à toi !!!
Signaler RépondreMerci à Lyon Mag de donner ce genre d'info! La police n"est pas au dessus de tout soupçons!! " La police nous protège, mais qui nous protège de la police?"
Signaler RépondreCher "journaliste", vous devez avoir un problème avec la police pour orienter votre article et faire l'omission volontaire de la défense. Vos propos sont sortis du contexte et ne sont là que pour détruire un homme dont la vie est probablement déjà détruites par ces années de poursuites judiciaires. Imaginez vous un jour êtes poursuivi pour avoir voulu trop bien faire, toujours +, pour un avancement personnel mais aussi pour suivre les ordres hiérarchiques et sa propre conscience professionnelle. Cela ne devrait pas vous arriver c'est sûr puisque apparemment vous n'avez aucune conscience professionnelle et votre haine des flics se traduit dans votre plume assassine. Heureusement que la France peut compter sur des policier comme cet homme et non comme des journalistes people comme vous.
Signaler RépondreCertes l'audience est publique,
Signaler Répondremais dévoiler l'identité de cette personne, alors même qu'elle est présumée innocente tant que le jugement n'est pas rendu, c'est bafouer son honneur par anticipation, qu'il s'appelle Fabien, Mohamed ou Lee, et cela ne me parait pas admissible.
Le travail est maintenant à la Justice qui appréciera ce qu'il y a lieu rendre comme jugement, mais y aura t'il un tel article en cas de relaxe? je peux me tromper mais j'ai comme un gros doute.
Cet article de journal est orienté et partial et si je reconnais des propos que j'ai pu entendre en salle d'audience, le journaliste les place dans le contexte qu'il souhaite afin de solliciter l'émotion du public et occulte les deux tiers de ce qui a pu être débattu.
Désinformation totale ou information dirigée/orientée, c'est malheureusement dans l'air du temps avec l'explosion des médias et réseaux sociaux.
Chacun aura son opinion et ira de son commentaire, c'est le droit de chacun.
Nous avons compris que beaucoup de policiers ont assisté au procès et qu'ils viennent défendre leur collègue sur ce forum.
Signaler RépondreConcernant l'Etat d'Urgence, il faut vraiment être à court d'arguments pour faire le rapport entre un policier, poursuivi pour des faits de violences à caractère sexuel sur des victimes et cette mesure prise bien tardivement.
Signaler RépondreAnnée 2015 : 149 morts imputables au terrorisme.
A situation d'exception, réponse de prévention.
On vous a repéré les gars. 3 ou 4 commentateur qui s'excitent sur le même sujet. A croire que tout Lyon était dans la salle. Votre fils/cousin/oncle/frère s'est mal comporté. Laissez faire la justice et arrêtez de ragez
Signaler RépondreCe journal fausse completement le contexte de l affaire et les faits pour culpabiliser et détruire ce policier.
Signaler RépondreC'est une honte et une désinformation du public !.
Cette presse devrait sélectionner des journalistes objectifs et neutres.
André N
.
Mr Mazni,
Signaler RépondreIl est facile de concevoir que l'on ne puisse pas être en permanence à 100% dans le cadre de son travail. Mais ici, Mr Mazni non seulement, vous n'aviez visiblement pas toutes vos facultés de synthèse, mais vous vous permettez de rabaisser le journalisme à ce qu'il y a de plus bas: le torchon racoleur.
J'étais présent à cette audience et votre article n'est en rien objectif et représentatif de la réalité. Je suppose que vous accorderez un article similaire le jour où ce policier sera relaxé, constatant votre très grand attachement à la notion de présemption d'innocence en citant le nom de la personne qui comparaissait ce jour sur le banc des accusés. Vous rendez-vous compte une seconde de l'importance de vos mots, vous n'êtes ni plus ni moins qu'un traitre pour le journalisme, baffouant toute éthique.
Votre honneur perdu, j'espère qu'il vous restera l'amour de ceux qui croient en vous et qui n'auront pas eu le malchance de croiser dans leur vie quelqu'un aux actes aussi répugnants que les vôtres.
Philippe NINET
Madame Monsieur le/la décérébré(e),
Signaler RépondreAvant de parler on se renseigne un peu plus sur la situation.
Ce procès est une mascarade, révélateur de l'état de fonctionnement de ce pays la France qui sacrifie ses subordonnés au profit des sa hiérarchie aussi bien incompétente qu' intouchable.
Pour tenir ce genre de propos, vous devriez être déchu de vos droits civiques comme les avocats de ces pseudo-victimes, honte de l'ordre des avocats.
T'as assisté à l'audience en question?Non évidemment..Alors de quoi tu parles là?
Signaler RépondreFaut vraiment pas avoir de vie pour poster pour avoir le temps de poster des banalités aussi affligeantes :)
Signaler RépondreAllez va te regarder une bonne téléréalité et va pas trop réfléchir surtout ;-)
Bonne nuit
ont-ils montrés les photos a l'audience ?
Signaler Répondrepas d'amalgame
Signaler RépondreJ'adhère...Evidemment
Signaler RépondreDaniel a écrit le 28/01/2016 à 19h48
Signaler RépondreBen voyons...Attendons le 18 février pour savoir comment la justice va trancher :)
Je relève le fait que vous ne répondez qu'à un seul des 4 points évoqués !:)
vous êtes malhonnête lorsque vous dites que l'une des victimes était connue pour outrage comme pour la discréditer... (vieille technique) : mais çà a été dit!Vous n'étiez pas là??
Vos lecteurs se poseront la question sur les 3 autres points restants :)
Quant à signer : Pas de pb !
Daniel CARRILLO :)
Daniel a écrit le 28/01/2016 à 19h48
Signaler RépondreBen voyons...Attendons le 18 février pour savoir comment la justice va trancher :)
Je relève le fait que vous ne répondez qu'à un seul des 4 points évoqués !:)
vous êtes malhonnête lorsque vous dites que l'une des victimes était connue pour outrage comme pour la discréditer... (vieille technique) : mais çà a été dit!Vous n'étiez pas là??
Vos lecteurs se poseront la question sur les 3 autres points restants :)
Quant à signer : Pas de pb !Je risque quoi?
Daniel CARRILLO :)
Ont ils montré les photos lors du procès ?
Signaler RépondreAffirmation stupide, et le fruit ne tombe jamais loin de l'arbre.
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