Ce dernier a décidé de le mettre en examen avec comme charges officielles "le refus de remettre aux autorités judiciaires ou de mettre en œuvre la convention secrète de déchiffrement d'un moyen de cryptologie".
L’adolescent a cependant échappé à la mise en examen pour complicité de menaces de destruction de biens et menaces de mort et a été placé sous le statut de témoin assisté.
Connu pour être passionné d’informatique et poche du groupe Anonymous, le jeune homme avait été arrêté chez lui. Au cours de sa garde à vue, il affait affirmé être à l’origine de la création d’un serveur permettant de rendre anonyme les envois de tweet revendiquant les appels malveillants dans les lycées parisiens et lyonnais la semaine dernière. L’adolescent aurait cependant assuré ne pas cautionner les alertes à la bombe.