Si l'on en croit le ton acide de nos confrères, rares sont les élus qui obtiennent des résultats convaincants. Et plus rares encore sont ceux qui sont appréciés, payant leur mauvais caractère ou leurs trahisons politiques.
Ainsi, Jean-Yves Sécheresse est désigné meilleur adjoint lyonnais. Chargé de la Sécurité et de la Tranquilité publique, il marque des points dans des catégories telles que "dynamisme", "relation avec les services", "interventions en conseil" ou "domaine de compétence".
Suivent Richard Brumm, adjoint aux Finances et Yann Cucherat, adjoint aux Sports, qui, malgré un poids politique moindre, arrivent à convaincre leurs collègues et les Lyonnais.
1er adjoint de Gérard Collomb, Georges Képénékian n'est que 6e dans le classement des Potins d'Angèle. On lui reproche sa gestion des cas Villa Gillet et Subsistances. "Semble avoir des difficultés à prendre des décisions", avancent nos confrères, un comble pour un chef de file.
Quatre femmes ferment la marche : Sandrine Frih (Tourisme), Dounia Besson (Economie sociale et solidaire), Blandine Reynaud (Petite Enfance) et Zorah Ait-Maten (Affaires sociales).
Cette dernière récolte des notes catastrophiques, notamment sur sa proximité avec le sénateur-maire. "Desservie par un caractère volcanique et une attitude agressive qui lui a déjà causé nombre de problèmes. N'a guère d'amis au sein du conseil municipal", tranche son bulletin.
Pourront-ils redresser la barre au prochain trimestre sous peine de redoublement ?
Quelle pauvre misère cette Zorah
Signaler RépondreEncore un sondage implicitement sexiste et rétrograde. Comme par hasard, les trois meilleurs adjoints sont des hommes, et quatre plus mauvais sont des femmes... J'aimerais bien savoir sur quels *critères objectifs* les journalistes des potins d'Angèle se sont basés pour établir leur classement. Un "caractère volcanique", c'est une preuve d'autorité pour un homme mais bien entendu un défaut rédhibitoire chez une femme. Quand au sujet de la petite enfance, il est évidement jugé secondaire et négligeable. Pour être un bon élu, il faut donc être un homme blanc de plus de 50 ans. Triste monde politique. (Et puisqu'il faut sans doute le préciser, je suis un homme)
Signaler Répondrebof cucherat il est nul
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