Jeudi, plusieurs dizaines d’étudiants ont d’abord occupé les locaux de la présidence pour demander l’inscription immédiate de jeunes sans-papiers, puis une manifestation plus importante a été organisée le soir même, en marge d’une conférence-débat sur l’état d’urgence. Une conférence organisée en présence du préfet du Rhône et qui a dû être annulée.
Le président de l’université Lyon 2, Jean-Luc Mayaud, affirme dans un communiqué que "des plaintes seront déposées" : "Nos six agents brutalisés, certains victimes de coups, recevront tout le soutien voulu dans leurs démarches légitimes". La présidence qui indique également que "les étudiants identifiés comme violents seront convoqués devant le conseil de discipline".
Selon nos informations, aucun étudiant n’a été interpellé jeudi malgré un gros déploiement de CRS.
Le nivellement par le bas permettra de se débarrasser de ces usines à gaz qui ne fabriquent que chômeurs et individus arrogants. C'est une bonne chose pour tout le monde.
Signaler RépondreIls veulent venir étudier en France ? Qu'ils fassent la preuve de leur niveau d'abord . Trop facile d'etre dealer la bas et de se reconvertir étudiant en France. Beau détournement des principes républicains, humanitarisme dévoyé...on aura tout vu
Signaler Répondreface à un événement avec peu d'informations,les extrêmes s'empressent de vomir sur leur dogmatisme sans savoir ce qu'il s'est vraiment passé:
Signaler Répondred'un coté les gauchistes irresponsables qui trouvent légitime de laisser la violence s'installer (coups portés au personnel de la fac) empêcher un débat de se faire sur "sécurité/liberté" tout en soutenant des sans papiers qui auraient du être inscrits (ont 'il au moins le bac?,pourquoi sont -ils sans papiers...)tout ça à la barbe de certains étudiants en situation légale qui n'ont pas pu s'inscrire dans certaines filières pour dépassement de quotas d'inscrits (tirage au sort dans certaines filières prisées..)
d'un autre côté l'extrême droite qui s'en prend à la police pas assez sévère faute de résultats ...alors que 6 étudiants meneurs du conflit ont été arrêté et seront jugés prochainement
Comment peut on avoir un débat serein que prône l'université où la tolérance , la paix et la non sélectivité sur dossier contrairement à d'autres écoles sont les règles élémentaires de la démocratie
Ces étudiants veulent s'inscrire à l'université à n'IMPORTE quel moment de l'année, UNIQUEMENT pour que le préfet leur donne ensuite des papiers et bénéficier des avantages qui vont avec (sécurité sociale, bourses etc....).
Signaler RépondreC'est un détournement grossier de la mission d'un établissement d'enseignant sous couvert de "droit de l'homme".... on ne sait plus comment saigner cette pauvre République qui est déjà endettée jusqu'au cou...
Pas d'arrestations car pas d'instructions en ce sens.
Signaler RépondreLa police attend les ordres...qui ne viennent pas...
Car des carrières sont en jeu
bravo à ces étudiants. Leurs révoltes est légitime et pleine d'humanité.
Signaler RépondreHonte ce soi disant président d'université qui ne fonctionne que par la force et qui oublie que la France est patrie des droits de l'homme et non une annexe des bas du front !
Les CRS n'ont pas arrêté un seul de ces étudiants....Pourtant , on paye des impôts pour la police et notre sécurité! Un scandale....La police ne nous protège pas du grand remplacement. Mais que fait donc alors la police????
Signaler Répondregauchiste de m.
Signaler RépondreTous ces étudiants ne doivent pas être dans la misère, ou payer des impôts. Autrement ils ne penseraient pas comme ça.
Signaler RépondreOui les sans papier ont des droits, mais on ne peut pas tout donner, ou faire tout gratuit.
Ce n'est pas possible, nos impôts ne peuvent pas tout payer.