Il était à la tête d’un réseau de 58 véhicules et 71 chauffeurs de VTC non déclarés qui effectuaient des courses via l’application UberX à Lyon, Paris et Nantes. La société du suspect avait notamment engrangé près de 600 000 euros rien que pour l’année 2015.
L’affaire a finalement pris fin début février lorsque la brigade des professions réglementées avait contrôlé à la gare de la Part-Dieu un chauffeur de VTC non déclaré. Ce dernier avait permis de remonter jusqu’au gérant travaillant sur Paris et de procéder à son interpellation. Les investigations se poursuivent.
Bienvenue dans la société de consommation 2.0 les amis ;)
Signaler RépondreEn suivant cette logique, demain j'équipe ma voiture avec un lumineux et un taximètre (sans avoir ni licence ni formation évidemment !) et après je viens faire grève parce que la ville ne veux pas me donner une licence pour travailler ? On marche sur la tête ...
L'ultra-libéralisation nous conduit droit dans le mur. Si des marchés étaient régulés auparavant, c'est probablement qu'il y avait une raison ? Il faut respecter un équilibre, et non pas faire les sauvages pour grappiller quelques milliers d'euros parci-parlà. Est-ce que la bulle internet de 2001 a déjà été oubliée ?
Courage ..
C'est juste un bon début mais il y en a plein d'autres, preuves à l’appui. En passant le dirigeant de cette société ainsi que ses chauffeurs n'ont pas hésité à manifester dernièrement et à parader devant les caméras pour demander ... le droit de pouvoir travailler tranquillement !!!!
Signaler RépondrePlus rien ne les arrête , merci Macron qui pense relancer l'économie avec des clandestins en pillant les petites entreprises et l'artisanat
http://www.francetvinfo.fr/france/greve-des-taxis/les-vtc-manifestent-a-leur-tour_1297543.html