Inhumée le 7 mars, la défunte a reposé dans la chambre mortuaire de l’hôpital jusqu’aux funérailles. La mère possédant une petite retraite et sa fille un RSA, elles étaient dans l’impossibilité de financer l’enterrement. Ce sont les services municipaux qui ont pris en charge les obsèques.
L’hôpital étant en manque de personnel, trop peu d’employés étaient sur place pour présenter le corps à la famille.
La direction des Charmettes a affirmé en avoir pris note et compte régler le problème au plus vite.