Les élus devront d'abord se pencher sur les emprunts structurés, dits "toxiques", récupérés lors de la scission avec le Département du Rhône.
Concrètement, ils auront à se prononcer sur la direction à prendre pour Gérard Collomb. Lui qui a déjà saisi le tribunal de Nanterre pourrait obtenir le droit de négocier de meilleurs taux d'intérêt avec les banques en échange d'une indemnité. Car certains emprunts atteignent désormais les 24% d'intérêts.
Sauf qu'avec la baisse des dotations de l'Etat et les investissements de la Métropole, la communauté urbaine a juste les moyens de négocier. Et éviter de payer plein pot les 303 millions d'euros que pourraient lui réclamer les banques.
Autre dossier épineux pour la Métropole, celui de TEOM, la taxe d'enlèvement des ordures ménagères. Les taux jugés trop élevés par l'association de contribuables Canol avaient été annulés pour les années 2011, 2012, 2013 et 2014 par le tribunal administratif.
Canol accuse la collectivité de toucher un trop-perçu chaque année en facturant trop cher sa taxe poubelles.
Mercier, le copain de Collomb, une sacré paire, ne manque plus que le suiveur Sturla.
Signaler RépondreBientôt les terrains bradés à 40€, Collomb démissionne, ça va chauffer.Mais c'est paraît-il ça le progrès, selon les sbires de ce Ps en décrépitude, tout avaler quand on est un militant PS!
Les cadeaux empoisonnés du département du Rhône à la Métropole.
Signaler RépondreIl y a les emprunts toxiques, mais aussi le Contrat Rhônexpress, qui coute aux contribuables plus de 3 millions d'euros par an jusqu’ en 2038.