Des molécules issues de produit de désherbage comme le dichlonil (devenu illicite en Europe en 2009) et d’autres pesticides interdits ont été décelés dans les eaux de Belleville. Les habitants n’ont toutefois rien à craindre puisque ces traces sont largement en-dessous des seuils de tolérance indiqués par la santé publique.
S’il n’y a pas lieu de s’inquiéter, des préconisations doivent néanmoins être mises en place. Inciter les agriculteurs à éviter d’utiliser ce genre de dangereux pesticides ou identifier des périmètres de protection de sol font partie des mesures établies.
La commune a également demandé une dérogation. Si les traces de molécules se multiplient à un niveau élevé, une alimentation en eau de secours par le syndicat des eaux voisins est à prévoir.
Enfin et si le problème persiste, une usine de traitement des eaux est envisagée.