Il faut remonter au 14 avril pour comprendre pourquoi l'homme responsable d'une classe unique à Saint-Cyr-le-Chatoux dans le Beaujolais s'était retrouvé dans le viseur des enquêteurs.
Un enfant de sa classe consulte ce jour-là un site éducatif recommandé par l'instituteur. Ce dernier est d'ailleurs l'administrateur du site. Mais en cliquant sur certains liens, comme le mot innocent "dauphin", l'enfant tombe sur des photos pornographiques.
Alerté, le prof supprime les liens et décide de s'expliquer.
Selon lui, il n'avait pas vérifié les liens depuis l'année dernière. Or, il est fréquent que certains sites ferment. Et que leur noms de domaine et URL soient récupérés, parfois par des sites érotiques.
Une défense qui a visiblement convaincu le procureur.
Les parents ont toutefois mal vécu l'affaire, d'autant que l'instituteur s'en sort pour la seconde fois. En 2011 déjà, des boîtes mails qu'il avait créé à ses élèves s'étaient retrouvées victimes de spams coquins. Il n'avait pas été considéré comme fautif.
Belkacem?? L'horreur absolue !
Signaler RépondreApres on attaquera là ministre car les tablettes de nos enfants serons rempli de spam à caractère pornographique.
Signaler RépondreNajat : la reine de la com et les résultats Mme la ministre ?
Signaler RépondreEt Najat veut que chaque élève dispose d'une tablette...
Signaler Répondreexcellente idée !