Selon le coordinateur du projet Sébastien Tagliana, interrogé par Acteurs de l’Economie à l’occasion des 6 premiers mois de la monnaie, 60 000 gonettes sont actuellement en circulation et utilisables chez 120 professionnels et associations. Enfin, une vingtaine de comptoirs de change sont dispersés sur l’agglomération lyonnaise.
A la base, la gonette doit permettre de soutenir l’économie et les acteurs locaux. Elle est complémentaire à l’euro qui permet de faire l’appoint car les pièces de gonette n’existent pas. Et à moins d'un arrêt réfléchi, elle ne peut disparaître car les gonettes ne peuvent pas être changées en euros.
D’ici la fin de l’année 2016, les initiateurs du projet espèrent augmenter ces chiffres : arriver à 2500 utilisateurs conquis, avec plus de 100 000 gonettes en circulation et 130 partenaires acceptant la monnaie lyonnais supplémentaires.
Voire accéder à de nouveaux territoires comme le Beaujolais et le Val de Saône. Impossible n’est plus gonette !
Ce n'est pas encore la révolution souhaitée, mais la gonette s'entoure toujours plus. Avec des bénévoles et quatre salariés, le groupe derrière le projet envisage enfin de recruter une nouvelle personne.
Pas de monnaie, c'est marqué dans l'article
Signaler RépondreEt puis une monnaie lyonnaise à proprement parlé
Why not
Bon, cela fait un peu billets de Monopoly, mais pourquoi pas ;-)
l'intérêt ? Faire travailler les petits commerces de proximité et sortir un peu du système marchand...
Signaler RépondreLes gones et les fenottes ont gin à faire des picaillons de niguedouilles...!
Signaler RépondreQuel est l'intérêt de cette monnaie si 1 euro = 1 gonnette ?!
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