La justice réforme le jugement du tribunal administratif de Grenoble, datant de septembre 2014, et reconnait le lien entre la vaccination, réalisée il y a 23 ans dans le cadre de l’activité professionnelle de la plaignante, et la maladie musculaire développée deux ans plus tard, et qui lui a valu un arrêt de travail non indemnisé depuis 2010.
Dans son arrêt, la cour administrative d’appel ordonne que la victime perçoive tous ses salaires depuis sa mise en disponibilité d’office en 2010.