Elle avait participé, à la fin des manifestations contre la loi Travail de cette semaine, aux violences devant le poste de police situé rue des Capucins (Lyon 1er). En effet, mardi et mercredi soir, après le rassemblement non loin de l’hôtel de ville, plusieurs individus avaient jeté des projectiles, dont des bouteilles et des pierres, sur le commissariat du 1er arrondissement. Identifiée grâce à la vidéo-protection, la jeune femme avait été immédiatement interpellée.
La jeune femme ne se revendique pas comme une militante politique. Et même si elle a exprimé ses "regrets" devant le tribunal correctionnel de Lyon, elle a été condamnée à six mois avec sursis et 13 000 euros de dédommagements.
ceux que la police ne comprends pas c est que les manifestants , manifeste pour la lois du travailles , ce qui en definitif est aussi pour le bien de nos officiers des forces de l odres , alors messieurs des forces de l , ordres continuer a faire des controles d ursaff par exemples aux entreprises pendant que pour faire vos travaux vous faites travaillers des gens en les payants en liquides , trop de passe droits pour vous qui seme le vents recoltes la tempetes !!!
Signaler RépondreIl faut signaler aussi que certain manifeste pour la liberation du rappeur LACRIM . LIBEREZ LACRIM !!!!!
Signaler Répondreje ne suis pas persuadé qu'il y avait plus de filles "casseurs" mais bon,elles sont plus vulnérables à attraper et sans cagoule...
Signaler Répondrel apparatchik syndical étudiant et sa cohorte d'étudiants déconnectés du réalisme de l'entreprise et du monde économique et de ses besoins me fera toujours autant rire
seulement
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