"Un rendez-vous, une chose normale", selon le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi.
Cette rencontre intervient quelques jours après l’interview donnée par le pape François au journal La Croix dans laquelle il assurait qu’une démission du cardinal Barbarin serait "un contresens, une imprudence". C’était d’ailleurs la première fois que François s’exprimait publiquement sur les affaires de pédophilie touchant le diocèse de Lyon.
Au cours de cet entretien, le pape aurait renouvelé son soutien au primat des Gaules. Les deux hommes auraient également évoqué les poursuites dont le cardinal Barbarin fait l'objet.
Pour rappel, Philippe Barbarin est visé par plusieurs plaintes pour non-dénonciation d'actes pédophiles.
Plus d’informations à suivre…
Informé en 2008 ..soit 17 ans après qu'il ait été évincé de sainte Foy par le cardinal Decourtray
Signaler RépondreFaux barbarin à lui même reconnu avoir été informé des actes et selon ses propres mots " avoir cru le père preynat" sans se poser la moindre question et sans en informer l'autorité judiciaire.
Signaler RépondreL'église de France doit refondre intégralement son fonctionnement et cesser tout gallicanisme , les spécialistes comprendront... Un laïc du"populo" pratiquant. La pedophile n'est certainement pas le seul mal dont notre église souffre...alors réformons , le Christ lui même n'a cessé de nous encourager dans ce sens lors de sa venue sur terre d'Israel....
Signaler RépondreLes vrais coupables sont l'Eglise de 1991, les familles et la communauté paroissiale qui ont , à l'époque, pudiquement détourné les yeux...
Signaler RépondrePour leur défense reconnaissons qu'autrefois il n’était pas d'usage de porter plainte...
Mais accuser "l'héritier" de ces drames de ne pas avoir été voir le" notaire" 20 ans après pour faire corriger le passif est injuste...
il peut pleurer à Rome, ça ne change rien à la réalité judiciaire. S i la justice le déclare coupable il devra être lourdement sanctionné. Par contre , une fois condamné , ses soutiens devront se justifier ...
Signaler RépondreIl aurait été logique, si l'on souhaitait résoudre cette situation, de recevoir les victimes.
Signaler RépondreLes écouter, comprendre leurs parcours et les murs auxquels elles se sont heurtés dans l'institution pour enfin faire disparaitre cette omerta aux plus hauts niveaux et cet obscurantisme ambiant et destructeur.
Au lieu de cela le pape assure de son soutien et reçoit celui qui a consciencieusement maintenu cette chape de plomb sur des viols sur mineur commis et reconnus dans son diocèse.
victoire !!! j'apprends à l'instant que le parquet requiert la non prescription des agressions sexuelles du père Preynat !!
Signaler Répondrehttp://www.leprogres.fr/lyon/2016/05/20/le-parquet-general-requiert-la-non-prescription-des-plaintes-dans-l-affaire-preynat
vite un procès !
L'église continu de s'autodétruire, papy préférant recevoir le coupable (peut être pour une promotion) que les victimes
Signaler Répondrece pape me déçoit beaucoup, j'attendais un changement après benoit XVI mais il montre que l'église est plus que jamais le lieu des obscurantismes
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