Le Journal du Dimanche révèle que Régine Maire, chargée du dossier de pédophilie concernant le père Preynat et de l’écoute des victimes auprès du diocèse de Lyon, a été entendue le 2 mai dernier par les enquêteurs. Elle est également visée par deux plaintes pour "non-assistance à personne en danger et non- dénonciation d'agressions sexuelles sur mineur".
À la fin du mois d'avril, c'est le directeur de cabinet de Barbarin, Pierre Durieux qui avait été convoqué par la Brigade des mineurs. Dans les prochains jours, son ancien auxiliaire, l'actuel évêque de Nevers, Thierry Brac de La Perrière, va à son tour devoir s'expliquer.
Des auditions très attendues par l’association La Parole Libérée qui reproche notamment au diocèse de Lyon d’avoir couvert les abus du père Preynat. Vendredi, le parquet de la chambre de l’instruction s’est opposé à la prescription des faits dans cette affaire. Une première victoire pour Bertrand Virieux, le secrétaire de l’association des victimes.
Le primat des Gaules, qui a reçu le soutien du pape François il y a quelques jours, a certifié ce week-end que sa démission n’était pas à l’ordre du jour. Il devrait être auditionné au début du mois de juin.
Elle ne veux certainement pas prendre le risque de déterrer quelques vieux cadavres...
Signaler RépondreN'oublions pas que le pape précédent à démissionné dans des conditions très obscures......
C'est donc parti pour un feuilleton médiatico-judiciaire qui va durer plusieurs années, et impliquer d'autres personnalités que Philippe Barbarin.
Signaler RépondreEt au fait, pourquoi l’Église ne s'est-elle toujours pas portée partie-civile ? Elle préfère se montrer solidaire des bourreaux plutôt que des victimes ?
Parler d'intox concernant des "hommes de dieu" c'est un pléonasme
Signaler RépondreDieu merci les faits ne sont pas prescrit !!!
Signaler Répondreenfin le travail judiciaire peut commencer, après les différentes tentatives d'intox..
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