Gérard Collomb - LyonMag
Gérard Collomb (PS)
13 000 euros pour Champagne-au-mont-d’Or
10 000 euros pour Champagne-au-mont-d’Or
10 000 euros pour Communay
15 241 euros pour Curis-au-mont-d’Or
20 000 euros pour Saint-Germain-au-mont-d’Or
10 000 euros pour Valsonne
25 000 euros pour Vernaison
Annie Guillemot - LyonMag
Annie Guillemot (PS)
30 000 euros pour Chaussan
20 000 euros pour Corbas
15 000 euros pour Haute-Rivoire
40 000 euros pour Montanay
20 000 euros pour Poleymieux-au-mont-d’Or
5000 euros pour Thurins
Michel Mercier - LyonMag
Michel Mercier (UDI)
50 000 euros pour Amplepuis
25 000 euros pour Chamelet
7600 euros pour Claveisolles
5000 euros pour Communauté de communes Chamousset en Lyonnais
25 000 euros pour Tarare
5000 euros pour Thel
Catherine Di Folco - LyonMag
Catherine Di Folco (LR)
8000 euros pour Ampuis
5000 euros pour Chaussan
8000 euros pour Grézieu la varenne
3000 euros pour Larajasse
10 000 euros pour Montagny
25 000 euros pour Orliénas
3000 euros pour Poleymieux
18 000 euros pour Rontalon
12 500 euros pour Saint André la Côte
10 000 euros pour Saint-Genis-les-Ollières
2500 euros pour Saint-Laurent-d'Oingt
1313 euros pour Saint-Sorlin
11 000 euros pour Salles-Arbuissonnas-en-Beaujolais
François-Noël Buffet - LyonMag
François-Noël Buffet (LR)
2000 euros pour Association ATD Quart-Monde Rhône Alpes
2000 euros pour Association L’Orchidée
1000 euros pour Association Oasis
1500 euros pour Badminton Club d’Oullins
10 000 euros pour Espace Aéro Lyon Corbas
10 000 euros pour Le Breuil
9000 euros pour Les Olmes
38 000 euros pour Oullins
1500 euros pour Oullins Sainte Foy Basket
12 000 euros pour Saint-Pierre-la-Palud
20 000 euros pour Saint-Romain-de-Popey
18 000 euros pour Tassin-la-Demi-Lune
10 994 euros pour Yzeron
Michel Forissier - LyonMag
Michel Forissier (LR)
41 000 euros pour Chassieu
10 000 euros pour Jonage
20 000 euros pour Jons
10 000 euros pour Marennes
10 000 euros pour Meyzieu
12 000 euros pour Pierre-Bénite
15 000 euros pour Saint-Laurent-de-Mure
20 000 euros pour Saint-Priest
Elisabeth Lamure - LyonMag
Elisabeth Lamure (LR)
2000 euros pour Aigueperse
4465 euros pour Cenves
5000 euros pour Cercle d’escrime de Gleizé Beaujolais
15 000 euros pour Dracé
18 000 euros pour Gleizé
15 000 euros pour Lancié
15 000 euros pour Legny
15 000 euros pour Liergues
20 000 euros pour Pont-Trambouze
5000 euros pour Saint-Christophe-la-Montagne
15 000 euros pour Saint-Didier-sur-Beaujeu
10 000 euros pour Saint-Laurent-d’Oingt
5000 euros pour Souzy
3000 euros pour Ternand
15 000 euros pour Theizé
16 675 euros pour Vaux-en-Beaujolais
1500 euros pour Vauxrenard
9815 euros pour Vernay
Globalement, cette distribution d'argent public relève du clientélisme électoral (cf les bénéficiaires arrosés par Michel Mercier, uniquement dans son fief) .
Signaler RépondreQuel gouvernement et quel parlement oseront supprimer cette" réserve parlementaire ?
Article paru dans Lyon Capitale en 2004, dénonçant la gestion hasardeuse de Mr MERCIER. La Justice ayant passé sous silence "cette affaire" . Par contre ,cette même justice a repoussé ma requête.
Signaler RépondreJe suis au chômage depuis 2012 suite à une vengeance administrative. (Conseil Générale = Métropole)
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Litige entre le Département et l'URSSAF
Le conseil général ferait-il des ardoises ?
Les URSSAF de Lyon et de Villefranche, les caisses primaires d'assurances maladies et d'allocations familiales réclament près de 120 millions de francs au conseil général pour les cotisations de sécurité sociale des RMIstes. Une somme contestée par le Département. L'affaire a été portée mercredi 5 novembre devant le tribunal de Lyon.
Il est rare de voir s'affronter au Palais de Justice de grandes institutions. Pourtant c'est ce qui s'est passé mercredi 5 novembre devant le tribunal des affaires de sécurité sociale. Au rang des accusés figurait le conseil général. A celui des plaignants les URSSAF de Lyon et de Villefranche accompagnées des Caisses primaires d'assurance maladie et d'allocations familiales. Ces dernières reprochent au conseil général de ne pas s'être acquittées ou partiellement depuis 1994 des cotisations de sécurité sociale destinées au RMistes. Depuis la loi du 1er décembre 1988, les bénéficiaires du revenu minimum d'insertion sont, en effet, obligatoirement affiliés au régime de l'assurance personnelle. Et leurs cotisations sociales doivent être, dans certains cas, prises en charge par le Département. Notamment lorsque les personnes concernées ont épuisé leurs droits au régime général de sécurité sociale des salariés ou des demandeurs d'emploi. Selon les organismes sociaux, la dette du conseil général s'élèverait aujourd'hui à près de 120 millions de francs, dont 20 millions en pénalités de retard. Mais ces chiffres ont été contestés par le responsable du service juridique du département au motif que la caisse primaire d'assurance maladie n'aurait pas réglé, depuis plusieurs années, sa participation à des campagnes de prévention (40 millions de francs) et que le département n'a pas les moyens de vérifier l'effectivité de sa dette. C'est donc sur la fiabilité des listings d'allocataires qu'a donc essentiellement tourné le débat. Or chacun des parties a campé sur ses positions. Le Conseil Général a invoqué une enquête réalisée en 1994 selon laquelle il y aurait 10 % d'erreurs dans le traitement des dossiers à son détriment. "Le décret de 1962 sur les collectivités territoriales nous contraint pourtant à certifier exacte snos pièces comptables au risque de sanctions", a souligné le juriste du département, qui a réclamé qu'une expertise indépendante soit menée. Les organismes sociaux ont, quant à eux, précisé qu'une étude de 1996, réalisée sous l'égide de la DRASS, n'aurait révélé qu' 1 % d'erreurs dans les listings. Et ce, malgré les situations très fluctuantes des RMIstes. "Depuis la réalisation de cette étude, nous transmettons au conseil général un état trimestriel valant facturation", a par ailleurs ajouté l'URSSAF de Lyon. Ainsi, les évaluations respectives semblent pour le moins contradictoires. Il en va d'ailleurs de même dans d'autres départements, notamment en Isère, ou les organismes sociaux et les départements s'affrontent également. A Lyon, l'affaire sera tranchée par le tribunal des affaires sociales le 19 décembre. Mais reste aujourd'hui à savoir si, à l'avenir, une convention de paiement entre le département et les URSSAF de Lyon et Villefranche pourra enfin être signée.
A.S.
URSSAF : Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d'allocations familiales.
DRASS : Direction régionale des affaires sanitaires et sociales.
Mercier...
Signaler Répondreattendez.. c'est le meme que dans l affaire des emprunts toxiques??????????
mais bon, concernant le clientélisme... ça fait bizarre...
en effet, ils n ont rien n a prouvé aux citoyens... ils ne sont pas élus par nous!!! mais par les "grands électeurs" que sont les députés, les conseillers généraux, régionaux et certains conseillers municipaux..
une belle économie en perspective:
abroger ce staut
créer un statut de "sage" ou de "protecteur de la règle".. qui seraient constitué de responsables de tous les corps de métiers et mouvements français... et surtout renouvelables tous les 36mois par tirage au sort
... comme ça, pas de campagne, pas d arrangement entre amis
biensur, ils devront rendre des comptes et seront PENALEMENT responsable de leur décisions
Champagne, Curie et Saint Germain mangent dans la main de Collomb. C'est normal ils sont à Synergies
Signaler RépondreOu, "comment arroser en toute légalité" :o)
Signaler Répondrevoilà une économie à faire,les dotations des députés et sénateur...la fin du clientélisme ???
Signaler RépondreAssez des seigneurs et de leur charité.Nous ne sommes pas de bons serfs!
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