C'est pour cela que la venue de leur directeur ce mardi à Bron était l'occasion pour l'intersyndicale CGT-Solidaires-FO de l'accueillir sans les honneurs. Avec des parapluies troués pour le symbole, ils lui ont demandé des comptes sur la restructuration que subit Météo-France.
Déjà 7 implantations locales ont fermé, dont deux dans la région Rhône-Alpes. Cette année, les bureaux de Saint-Etienne et de Chambéry sont voués à disparaître.
Pour les syndicats, cela ne permet pas d'offrir au public une météo de proximité et de qualité.
La direction de Météo-France est restée ferme, le ministère de l'Environnement l'oblige à supprimer 70 postes par an dans le pays.
la modernisation c'est pas pour demain!! la France est dopée à la dépense publique comme un drogué à sa came .le dernier rapport de la cour des comptes qui remet en place les balivernes dites par le gouvernement
Signaler Répondrehttp://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/05/25/20002-20160525ARTFIG00058-pour-la-cour-des-comptes-le-deficit-2015-de-l-etat-n-a-baisse-que-de-300-millions.php
Ils feraient bien d'en supprimer autant DANS LES CHARGES DE MISSIONS ( francs maçons ) des préfectures et administrations de FRANCE. !!!!!!!
Signaler Répondreavec les prévisions quelquefois farfelues de la méteo,on s'en fou de ces emplois publics d'autant plus qu'on a pas besoin d'un service public pour ça car l'Etat ferait mieux de mettre du fric dans les hopitaux et fonctions régaliennesi:le secteur privé fait aussi bien pour ce service :on crève d'une hyper-administration qui nous pompe avec les impôts et du coup les entreprises n'investissent plus et délocalisent .le chômage et ses 6 millions en sont la conséquence alors tant mieux si on modernise enfin la France
Signaler RépondreOn se rendra compte dans quelques années de l'effet délétère de la réduction du nombre de fonctionnaires et d'agents publics, à Météo France comme ailleurs. Je ne connais pas beaucoup de salariés d'entreprises publiques qui accepteraient une baisse d'effectifs de 2% par an depuis 10 ans, alors que la quantité de travail à réaliser ne diminue pas particulièrement. Dans quelques années, lorsqu'on percevra l'état de dégradation du service public, ça sera difficile de faire machine arrière.
Signaler Répondre