Son procès avait été reporté dans un premier temps car cette jeune femme de 24 ans ne s’était pas présentée à l’audience en mars dernier, après avoir fait une tentative de suicide. Une expertise psychiatrique avait alors été ordonnée.
Perturbée psychologiquement, cette membre de l’Ecole Supérieure du Professorat et de l’Enseignement de Lyon, elle-même chrétienne, aurait agi pour attirer l’attention sur les pressions subies par les catholiques en France, après avoir connu des difficultés avec sa classe depuis la rentrée. Les enquêteurs avaient fini par remonter jusqu’à elle, via l’adresse IP de l’ordinateur qu’elle utilisait.
Lors de l'audience, elle a notamment déclaré : "C'est moi qui les ai envoyés, mais c'est pas vraiment moi".
Elle a finalement écopé de 8 mois de prison avec sursis.
Une ip suffit a arrêter quelqu'un? C'est la bonne ip ?
Signaler RépondreElle était sur un ordi public.....
Certainement une amie des prêtres pédophiles et de leur protecteur barbarin.
Signaler RépondreLe Progrès évoque une "Marie". L'article de LyonMag indique qu'elle est chrétienne. Avez-vous seulement lu avant de commenter avec votre fiel ?
Signaler Répondreencore une chance pour la france !! peut on avoir son prénom ?
Signaler RépondreAu lieu de faire ce qu'elle a fait, elle aurait mieux fait de regarder la télé en mangeant des chips comme tout l'monde.
Signaler RépondreMais Dieu pourrait la guider sur le bon chemin.
Signaler RépondreSte Croix: Les couvents ne sont pas fait pour les malades mentaux.
Signaler RépondreQue fait elle dans l'enseignement ? Decidement,l'école de la république vit un malaise profond et touche le fond.au bénéfice de l'école privée.
Signaler RépondreElle a plutôt sa place dans un couvent....
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