La semaine dernière, des représentants des actionnaires minoritaires de l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry recevaient les sept candidats à la reprise de l'infrastructure dans le cadre de la cession des parts de l'Etat.
CCI, Département, Région et Métropole semblent avoir été au moins rassurés par les propos de ces derniers. Parmi eux, Vinci, Cube, Limaky Atirim, Ardian, Atlantia, Meridiam et Macquarie. Les Australiens d'IFM ont décidé de ne plus participer à l'opération.
L'avis des collectivités n'est que consultatif, c'est à l'Etat de prendre une décision finale. Pour cela, un nouvel oral est prévu à Bercy le 4 juillet, où les offres définitives seront connues pour récupérer les 60% de parts de l'Etat.
L'officialisation de la vente interviendra dans la foulée, avant le début de l'automne. Puis viendra le jeu de séduction de certaines collectivités comme la Chambre de Commerce et d'Industrie qui envisage de céder elle aussi des parts au nouveau propriétaire des lieux.