Le site de Feyzin fait l’objet de blocages de protestation contre la loi travail depuis le 20 mai dernier. Le groupe pétrolier Total a pourtant annoncé ce mardi une reprise du travail à la raffinerie après que 80 % des salariés se soient exprimés en faveur de la fin de la grève. Une décision que réfutent les syndicats CGT et FO qui ont appelé à poursuivre la contestation.
Selon Total, 250 salariés sur 292 votants sont favorables à la fin du conflit ; la direction exige d’ailleurs que les syndicats respectent cette décision "démocratique". On ignore encore si les installations vont être redémarrées dans les prochaines heures.
Pour rappel, cette grève à la raffinerie de Feyzin, ainsi que dans les autres raffineries françaises, combinées au blocage de certains dépôts pétroliers, avaient conduit à une pénurie d’essence dans des stations-services du département.
Le siège de Technip quitte Paris pour Londres.
Signaler Répondre- Le siège d'Alcatel part en Finlande.
- Le siège de Lafarge-Holcim part en Suisse.
- Le siège d'Alstom part a ux USA.
Heureusement, il nous reste le siège de la CGT (ses nombreux chateaux aussi) et son chef
qui lui reste à Montreuil.
S'il n'y avait que la cgt ,la démocratie c'est fini.
Signaler RépondreOui mais ils vont vous dire que ça n'avait rien à voir, que vous mélangez tout, etc etc
Signaler Répondreoui et c'est pas nouveau ! rappelons nous aussi le sens de la démocratie des leaders cgt qui allaient serrer la pince à Jaruzelski pendant que les leaders syndicaux des chantiers de Gdansk en Pologne étaient en prison...
Signaler RépondreCGT, une nouvelle idée de la démocratie
Signaler RépondreSketche COLUCHE 1979 : Le syndicat : le délégué
Signaler RépondreLe syndicat appelle à la grêve : - "A LA GRÊVE !"
Prenez des notes, hein ! parce que je vais pas répéter, hein !
Les ouvriers :
- Qu'est-ce qu'y a ?
- C'est la grêve !
- Ben, y viennent d'embaucher !
- Ben, y débauchent !
- Ah bon, ! Salauds ! Le patron, rengagez nos camarades ! Aie ! Euh...(Pan sur la tête)
- Aie ! Salut Roger ! T'es dans la police maintenant ! Aie !
- Pardon , s'il vous plait, m'sieu l'agent... Aie ! La République ?
- C'est par là ! (Vlan ! )
Bon. Alors la grêve dure des fois trois semaines, des fois même trois semaine, voire même...
Y en a deux qui suivent ! c'est intéressant, non ?
Pendant les trois semaines, qu'est-ce qu'il fait le patron ?
Il vend ce qu'il a dans son stock !
Il a pas besoin des ouvriers qui fabriquent, pour vendre.
Alors, au bout de trois semaines, il a tout vendu. Il dit :
- "Voilà les mecs... vous avez gagné. Je rengage tout le monde !"
Et les mecs retournent bosser :
- "On a gagné ! On a gagné ! On a... à part les trois semaines qu'on a dans le... !
"Bon, le problème", a dit le patron, "y a deux problèmes :
Y a un problème du côté patron, et y a un problème du côté ouvrier qui se fait sentir !"
Ça sent le problème, ici...
Le patron, quand il rembauche les ouvriers, il est obligé de les augmenter, après la grêve. C'est embêtant ça !
D'ailleurs, il m'a dit : - "C'est ça le problème, parce que, vous comprenez, les ouvriers, il sont bien gentils, moi je les aime bien, moi les ouvriers, et puis il en faut ! Surtout des pauvres !"
Il m'a dit : - "Les ouvriers, ils demandent ça.
On leur donne ça !
Bon, mais ils le prennent !
On est embêtés !"
Et alors du côté ouvrier, il y a un problème : C'est que la grêve, c'est pas payé !
Vous comprenez ? Sauf dans les grandes administrations, mais ça, c'est pas payé, la grêve.
Alors un mec qui dit : - "On a gagné ! On a gagné !"
Ben, ils ont perdu trois semaines !
Alors y avait des remous !
- "Ouais, euh... Ouais, le syndicat nous a fait faire la grêve. Tout ça, euh... on a gagné ta ta ta... Tu vas voir Ta ta ta !
On a paumé trois semaine, oui !"
J'ai dit : - "Camarades, camarades !
D'aucuns diront que le syndicalisme est à la société moderne ce que le mercurochrome est à la jambe de bois.
A ceux là je dirai, rappelez vous l'essentiel :
Le capitalisme, c'est l'exploitation de l'homme par l'homme !
Le syndicalisme, c'est le contraire !"
La CGT a raison! Et ceux qui sont pas content, au goulag!
Signaler RépondreSi Daesh a perdu ses raffineries, le mollah OMartinez veut montrer que lui les contrôle toujours !
Signaler RépondreEt pour ça il est prêt à tenir tout le monde en otage, y compris les salariés qu'il prétend défendre !