Pour la justice lyonnaise qui confirme la décision rendue en première instance, les faits reprochés au père Preynat, accusé d’acte de pédophilie par plusieurs anciens scouts de Sainte-Foy-lès-Lyon, ne sont pas prescrits.
Pour rappel, le père Preynat a été mis en examen le 27 janvier dernier pour agressions sexuelles commises entre 1986 et 1991. Mais cet imbroglio judiciaire tourne autour de quatre plaintes. Pour la défense du père Preynat, les faits d’agressions sexuelles étaient, à l’époque, prescrits au bout de 3 ans. Mais depuis, la législation a été modifiée pour permettre aux victimes de saisir la justice jusqu’à l’âge de 38 ans.
L’avocat du prêtre pourrait maintenant saisir la cour de cassation, puis la cour européenne des droits de l’homme pour tenter de faire annuler la procédure.
Un curé ou mieux un évêque en prison, vous êtes fou ces gens ne peuvent que commettre des crimes et délits mais jamais la société n'aura le courage de les faire payer.
Signaler Répondreallez mettez nous tout ça en prison qu'on en parle plus
Signaler RépondreDu coup plus aucune déclaration du diocèse.....
Signaler RépondrePour des personnes qui voulaient "soit disant" la vérité ils ont l'air déçus
"grace à dieu", Barbarin s'est trompé...
Signaler RépondreQue c'est beau de chercher à s'abriter derrière la prescription !... Cela ressemble bien à un bel aveu, non ?
Signaler RépondreLes faits ne sont pas prescrits pour 4 des 67 plaintes.
Signaler RépondreEt combien encore qui n'ont pas porté plainte?
Qu'est ce qui se cache derrière ce silence assourdissant, combien de temps allons nous devoir accepter cette sinistre omerta?
Dieu merci les faits ne sont pas prescrit
Signaler Répondre"Toute cette affaire est une mascarade!
Signaler RépondreLes lois ne sont pas rétroactives! "
Donc il ne sait rien passé, ou faisons comme s'il ne s'était rien passé, comme toujours.
Vous êtes répugnant
Toute cette affaire est une mascarade!
Signaler RépondreLes lois ne sont pas rétroactives!
Par ailleurs dans les années 80 certains étaient fiers de leur "pédophilie" ...les peines sont-elles prescrites pour eux?
Rappel : "Au début des années 1980, la pédophilie continue d'être défendue, ou du moins abordée avec légèreté, dans certains milieux. Sur le plateau d'Apostrophes en 1982, Daniel Cohn-Bendit évoque son travail en tant qu'éducateur de jeunes enfants et ajoute : « La sexualité d'un gosse, c'est absolument fantastique, faut être honnête. J'ai travaillé auparavant avec des gosses qui avaient entre 4 et 6 ans. Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c'est fantastique, c'est un jeu érotico-maniaque ». Lui-même regrettera par la suite ses écrits et ses propos, déclarant avoir voulu simplement faire de la provocation et « épater le bourgeois »58. Dès cette époque, cependant, l'opinion publique est progressivement sensibilisée à la question. En 1982, l'affaire du Coral, en France, contribue à alerter sur l'existence de possibles dérives des pédagogies « alternatives ». C'est néanmoins au cours des années 1990 que s'ouvre un vrai débat public. Dans les médias français, plusieurs affaires et initiatives contribuent à faire évoluer les mentalités : en 1990, la canadienne Denise Bombardier, lors d'un numéro d’Apostrophes, s'en prend vigoureusement à Gabriel Matzneff au sujet du livre Mes Amours décomposées, dans lequel ce dernier raconte ses rencontres sexuelles avec des enfants de onze ou douze ans."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pédophilie