Fanindra et Maruska peuvent désormais faire trempette dans des espaces de baignade mais également se rouler dans la boue sur plus de 1 500 m2. "Notre objectif était de répondre au plan d’élevage et d’héberger ces animaux dans de très bonnes conditions mais aussi de favoriser la reproduction au niveau européenne et participer ainsi à l’effort de conservation", déclare le docteur Franck Chaduc, vétérinaire et PDG de Touroparc.
Ces nouveaux aménagements permettent également aux visiteurs d’approcher encore plus les animaux, notamment les tigres blancs et les girafes. Ils sont en tout plus de 700, soit 140 espèces, à vivre au sein de Touroparc.
Pas question pour autant de faire des animaux une attraction lucrative. "On ne se dit pas on va présenter telle espèce à chaque fois. Je me refuse à ça, car les animaux ne sont pas des marchandises", ajoute le docteur Franck Chaduc qui rappelle que Touroparc a également comme vocation de répondre à des appels d’urgence dans le but d’accueillir des espèces en danger.
Libérez les oiseaux.
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