"Cette affaire est prise très au sérieux", a précisé un des enquêteurs à l'AFP, en ajoutant : "Si le risque existe, il vaut mieux qu'il soit connu pour faire de la prévention, mais en même temps, le problème est qu'une psychose risque de se déclencher".
Les policiers ont également reçu le témoignage d'une personne qui aurait vu dans les jours suivants un garçonnet se faire aborder par un homme à bord d'un véhicule. Mais ce jeune garçon n'a pas été retrouvé par les policiers.
Dans le quartier de la cité de la Viscose où habitent les fillettes, plusieurs affichettes, mettant en garde les parents et les enfants, ont été mises en place par l'association des habitants.