Plus de 20 000 personnes étaient en effet au rendez-vous dès le premier mois. Et le chiffre n’a cessé de croître, à raison de quelque 3500 visiteurs par semaine. Au final, 68 000 personnes sont venues voir la toute première rétrospective française consacrée à l’œuvre de Yoko Ono. Nombreux également ont été les internautes qui ont partagé leur engouement via le hashtag "#YokoOnoLyon" sur les réseaux sociaux.
Toutefois, ce bilan est assez mitigé comparé aux précédentes rétrospectives du MAC. La dernière, consacrée à Erró, avait attiré 85 000 personnes. Et dans le top 3 de ces 10 dernières années, 100 000 personnes étaient présentes pour Ben, 147 000 pour Andy Warhol, et enfin 168 000 pour Keith Harring.
A noter enfin que Yoko Ono n’est jamais venue à Lyon comme prévu, elle avait été victime d’une grippe. Elle a toutefois fait don au MAC de l’œuvre "Freight Train", produite à Lyon par le musée.
Le wagon avec des trous de balles , ouais ouais ! Chacun interprete l'art comme il peut !
Signaler RépondreElle nous a deja laissé un wagon lors de son "expo" precedente.... Il a fallu que la commune paye pour s en defaire.... Et a finalement ete offert a un street artiste, pour une reele oeuvre visuelle
Signaler RépondreEllebcapitalise sur le nom de son amoureux decede....
Lu une belle critique (c'est à dire une critique avec laquelle je suis d'accord :-)) dans la Tribune :
Signaler Répondre"Yoko Ono, ce n’est vraiment que pour les enfants. Si cette vraie-fausse re?trospective d’une ico?ne charmante mais qui n’a plus rien fait de ses dix doigts depuis a? peu pre?s 50 ans ne vaut pas tripette dans l’histoire de l’art, elle reste un objet ludique pour vos enfants, neveux et autres prolongements de vous-me?mes en miniature. Ils adoreront se cacher dans les recoins des murs troue?s, jouer avec les couleurs, recoller de la vaisselle casse?e ou imaginer qu’eux aussi peuvent faire de la peinture avec des restes du repas de la veille projete?s sur la toile en guise de contribution au de?veloppement durable. Certes, faire trois fois le tour de chiottes entoure?s de plexiglas n’apporte pas grand-chose depuis Marcel Duchamp, mais cette re?tro peut au moins servir de premie?re approche a? des installations d’objets pour qui n’a encore jamais mis les pieds dans une exposition d’art contemporain. Escabeaux, portes, boi?te de corn-flakes et me?me une pomme qui tro?ne toute seule sur un superbe support en plexiglas... Non seulement vous pourrez vous amuser avec vos enfants sur place, mais en plus vous pourrez faire la me?me chose chez vous en rentrant. "
et si elle faisait quelque chose d’utile pour une fois : caissiere...
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