La faute peut-être au temps parfois moins propice à la baignade.
Mais la saison n'est pas terminée et la situation a le temps d'évoluer dans les piscines de l'agglomération lyonnaise. Selon le Progrès, déjà 41 incidents ont été relevés. Il s'agit principalement d'insultes, de consommation d'alcool et de cigarettes dans l'enceinte de la piscine. Mais aussi des faits plus graves comme l'incendie de la piscine de la Duchère ou encore l'agression du personnel de la piscine de Gerland.
Au total, 15 personnes ont été exclues temporairement, tandis que les agents de sécurité ont la possibilité depuis cette année de reconduire à la sortie les mineurs dès 12 ans. Davantage de médiateurs ont également été recrutés, pour éviter une confrontation systématique entre jeunes et agents de sécurité.
Malgré ces coups de chaud entre baigneurs, les piscines se portent plutôt bien en termes de visites. Plus de 100 000 entrées ont été recensées, avec notamment des journées à plus de 3000 entrées au centre nautique Tony-Bertrand (ex Piscine du Rhône).
Ce qui signifie que beaucoup de gens "normaux", tranquilles, ne fréquentent plus les piscines municipales l'été. Demandez autour de vous, regardez sur les forums, nombreux sont ceux qui ont renoncé à ce plaisir qu'ils financent par contre via leur impôts...
Signaler RépondreVous oubliez qu une partie de nos impots financent aussi des etablissements
Signaler RépondreUne certaine forme de lacheté et/ou laxisme s est installée... Surtout face a la violence, aux menaces et aux represailles
Les pertubateurs devraient etre punis notamment en effectuant des TIG .... Comme le nettoyage des routes et des rues, ...
To be continued
On embauche des médiateurs, payés par les contribuables pour discuter avec des "perturbateurs".
Signaler RépondreIl ne faut pas discuter, il faut expulser, bannir tous ces perturbateurs des piscines.
Les utilisateurs des piscines paient déjà cher les entrées si il faut encore qu'ils soient sanctionnés encore plus sur leurs impôts locaux, ce n'est pas normal.
Arrêtons de disculper tous ces jeunes qui ne cherchent que l'affrontement, qui ne respectent plus rien, plus personne.