Les politiques sanitaires et sociales de l’Etat ainsi que de la région vont avoir du travail. Si la région est l’une des moins vieilles de France, cela n’empêche pas la population de séniors d’augmenter. Cela veut dire que certaines de ces personnes, en forte dépendance, vont avoir besoin d’aide et de soutien au quotidien.
C’est pourquoi les besoins en formation vont s’accroitre. Car même si les institutions telles que l’Ehpad existent, l’étude montre que 55% des personnes en perte d’autonomie vivent encore à leur domicile. Infirmière, aide-ménagère ou auxiliaires de vies vont donc faire partie des corps de métier en forte hausse d’ici les prochaines années.
Dans le but de faciliter cet accès à la formation et d’accompagner les professionnels, la Région ainsi que l’Agence régionale de santé devraient "adapter le contenu des formations et stimuler le développement de ces métiers" rapporte le Progrès.
Entre 2015 et 2030, l’augmentation de personnes dépendantes se situerait entre 18 et 25% dans le Rhône, assure l’étude de l’Insee. Plus généralement dans la région, le chiffre de personnes en perte d’autonomie était de 172 000 personnes en 2015. Il sera compris entre 192 000 et 232 000 d’ici 2030.
Créer de l'emploi , et payé des cacahuètes ,non merci. C'est pour ça que l'immigration les intéressés ,les mexiquains acceptent tout. Travailler pour quoi faire ? Un bol de riz.
Signaler RépondreAu premier coup d'œil c'est une bonne nouvelle
Signaler RépondreNotre industrie se meurt, minée par la concurrence et l'automatisation
Se replier sur l'humain et sur l'accompagnement des personnes âgées est le signe d'une renaissance, voire d'une redéfinition complète des rapports au travail dans notre société.
Reste un sujet que personne n'aborde : Qui va payer ?
Car parmi toutes les personnes âgées, nombreuses sont celles n'ayant ni bien, ni économies, ne pension n'ayant parfois jamais travaillé ?
Est ce qu'un seul de nos politiciens s'est penché sur le modèle économique à inventer ?