Ayant rencontré plusieurs familles qui sont actuellement dans cette situation, les professionnelles de l’urgence sociale affirment que la préfecture aurait envoyé des lettres adressées à ces sans-abri la semaine dernière. Dans celles-ci, il est mentionné qu’ils doivent quitter l’hôtel où ils sont hébergés car "leur situation ne fait pas apparaître de critère de vulnérabilité de nature à justifier le prolongement de la prise en charge".
Ces professionnels ont vivement critiqué cette décision : « En toute illégalité, le préfet du Rhône a décidé de profiter des périodes de vacances pour déroger aux annonces de la Ministre et bafouer ostensiblement la loi ».
Contactée, la Préfecture se défend de ces accusations. "Ces 70 personnes rentraient dans le dispositif hivernal, qui a été prolongé jusqu'en août", a t-elle assuré. Quant aux critères de vulnérabilité qui font débat, il s'agit pour la Préfecture des femmes enceintes et des enfants de moins de trois ans. De plus, le dispositif d’hébergement d’urgence serait en ce moment saturé, où 380 personnes seraient déjà prioritaires. Néanmoins, la Préfecture affirme ne pas avoir de solutions quant à ces 70 personnes remises à la rue.
Aujourd’hui, ces acteurs sociaux en appellent à la Ministre du Logement Emmanuelle Cosse pour "que le territoire du Rhône cesse d’être un territoire de non-droit". En mars dernier, la femme politique s’était rendue à Lyon et avait bien soutenu que l’objectif était "de ne laisser aucune personne sans solution".
la France n'a plus d'argent ,elle emprunte tous les mois sur les marché ,le jour où les taux vont flamber ,c'est le sort de la Grèce ,qui nous attends,c'est sur. le social c'est bien ,mais au cas par cas, car le social de masse ,fini toujours par porter tort ,à ceux qui en on réellement besoin.
Signaler RépondreFrançais, pas Français, on s'en fout un peu non quand il est question d'humanité ?
Signaler Répondrehttp://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/relou/67916
Signaler RépondreQui paye le plus ?
Signaler RépondreCeux qui crèvent dans la rue ?
Ceux qui sortent du fric de leur poche ?
:o)
Vivement que la race humaine n'utilise plus de monnaie, ce rêve "impossible" est pourtant une solution accessible.
Comme toujours dans ce genre de triste histoire... qui paie ?
Signaler RépondreEt moi, est-ce que la Préfecture veut bien payer mon loyer?
Signaler Répondredites nous où il est écrit qu'ils sont sans papiers ?
Signaler RépondreComme on le constate, trop de social ,tue le social et c'est dommage pour beaucoup.
Signaler RépondreJe n ai pas de prejugé sur leur nationalité.... Relisez mon commentaire et appreciez l utilisation du conditionnel
Signaler RépondrePar contre, qu est ce qui vous permet d affirmer qu ils ne sont pas francais? Donnez nous des infos!!!
J ai beau relire l info, je n arrive pas a savoir si ils sont francais, europeens ou autre...
Eclairez moi, je vous en prie!
De la même façon que vous êtes persuadé du contraire, très certainement.
Signaler Répondrepourquoi sans papiers ? vos idées reçu vous donnent des hallucinations
Signaler Répondrecomment savez vous qu ils ne sont pas français, et sans papiers?
Signaler Répondrec'est dommage de ne pas savoir lire : il est écrit "sans abri" pas "sans papiers
Signaler Répondresans papiers hors la loi donc out
Signaler Répondre"territoire de non-droit"... le ministre veut il parler de saint genis les ollieres??
Signaler Répondresi ils ne sont pas français, pourquoi ne pas les renvoyer dans leur pays et appliquer la loi Schengen?