Mise à jour à 9h15 : Il s'agissait d'une fausse alerte. Une personne habilitée à entrer sur le site de Feyzin a provoqué une erreur d'appréciation chez le personnel de sécurité qui a lancé l'alerte. La procédure obligeait ensuite les forces de l'ordre à se mobiliser pour fouiller la zone. Elles sont d'ailleurs toujours sur place pour interroger les protagonistes de l'affaire. L'entrée est restée condamnée jusqu'à 9h30, même pour les salariés.
Contrairement à ce que nous avions écrit et qui nous avait été confirmé, il semblerait que la raffinerie n'ait pas été évacuée.
Article initial : Selon nos informations, plus personne ne pouvait accéder au site. Un message a d'ailleurs été envoyé aux salariés, leur demandant de ne pas venir travailler ce matin.
La procédure a été lancée aux alentours de 7h, après la suspicion d'une intrusion dans la raffinerie.
Un important dispositif policier a été déployé pour balayer le site classé Seveso et potentiellement retrouver l'individu indésirable.
Hasard du calendrier, un exercice de sécurité simulant une intrusion dans la raffinerie Total avait eu lieu en janvier dernier. "Les mesures de sûreté méritaient d'être revues", avait alors déclaré le préfet délégué à la sécurité, Gérard Gavory. Les préfectures avaient effectivement renforcé la sécurité autour des sites Seveso après l'attentat de Saint-Quentin-Fallavier sur le site d'Air Products.
Mais... c'est dangereux une raffinerie ? ça explose et ça fait des morts ? Et tout ça pour polluer après en plus ?
Signaler RépondreHa oui mais c'est vrai, "ça fait des emplois et des taxes nécessaires à la société, alors on se tait et on accepte :o) "
Ils devraient recruter pour monter en compétences!
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