En vertu des dispositions de l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881 sur la presse et de l’article 6-IV de la loi de confiance dans l’économie numérique n°2004-575 du 21 juin 2004, j'exige que LyonMag, dont vous dirigez le contenu, diffuse l'intégralité de ma réponse et ce en même lieu et place et en mêmes caractères que l’article susvisé (https://www.lyonmag.com/article/83694/l-8217-ancien-gardien-de-l-8217-ol-pascal-olmeta-critiqu-aprs-avoir-chass-l-8217-lphant), dans les trois jours à compter de la réception de ce courrier électronique.
"En décembre 2011, afin de pallier les dommages causés par la surpopulation d’éléphants au Zimbabwe, Pascal Olmeta a participé à une chasse légale et encadrée par le parc organisateur.
Né dans une famille de chasseurs, Pascal Olmeta ne s’est jamais caché de pratiquer la chasse. Il a d’ailleurs de nombreuses fois répondu à des interviews et fait la couverture de supports spécialisés.
En 2011, Pascal Olmeta se rend au Zimbabwe afin de participer à une chasse annuelle à l’éléphant qui est non seulement légale, mais qui a pour but de pallier les risques causés par la surpopulation d’éléphants sur le territoire.
Le problème de surpopulation des éléphants au Zimbabwe est un réel enjeu pour le pays. Les éléphants, en surnombre, provoquent des dégâts irréparables pour les habitations. Ils sont aussi à l'origine de nombreux morts au sein des populations locales.
Au total, plus de 17 000 éléphants sont présents sur le territoire zimbabwéen, un nombre bien trop important pour la superficie disponible d’accueil.
Pour cette raison, le Zimbabwe organise chaque année une chasse légale et encadrée afin de répondre au besoin de régulation de l’espèce. Les animaux concernés sont choisis au préalable par les autorités. Et seuls les animaux les plus âgés et causant le plus de dommages auprès des populations locales sont chassés.
Le seul but de la chasse à laquelle Pascal Olmeta a participé en 2011, et qui s'est déroulée dans la région de Tuli, dans un territoire de 40 000 hectares aux confins du Zimbabwé et du Botswana, était de participer à la pérennité de l'espèce, en maintenant un indispensable équilibre entre les sexes, et les tranches d'âge.
Le parc national organisateur avait autorisé la chasse de cet animal, qui menaçait les villages et les habitants alentours.
Les défenses ont été remises au parc national et la viande a été distribuée aux villageois.
Par ailleurs, le Zimbabwe souscrit au principe de l’utilisation raisonnée de ses ressources naturelles. Ce qui signifie que tous les revenus tirés de la chasse sont utilisés pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations locales vivant avec la faune ou à proximité des aires protégées, et pour soutenir les programmes de conservation.
Pascal Olmeta rappelle qu'il est engagé depuis de nombreuses années dans des causes philanthropiques. Il a d’ailleurs créé sa propre association "Un sourire, un espoir pour la vie". A laquelle il a toujours reversé l’intégralité des sommes qu’il a pu toucher via, notamment, ses partenariats avec des marques de chasse."
Tant qu'il ne parle pas de lui à la 3ème personne, ça ne me dérange pas :)
Signaler RépondreOlmeta, pour les Zimbabweens, c'est donc un super hero qui tue les méchants éléphants et les nourrit !?
Signaler RépondreLa blague (ou mensonge) du siècle.
Post Monétaire est revenu il a été relaché ! ça va mieux !
Signaler RépondreVoila ce qui est dit de lui sur wikipédia : Après sa retraite, il se lance dans le beach soccer et est finaliste de la Coupe du monde de plage 2001.
Signaler RépondrePersonne pour faire un reportage et s'offusquer de la pollution du sable et de la mer ?
En revanche, une chasse réglementée : oui ça râle !!
L'oméga n a jamais brillé par son intelligence tout le monde le sais mais la il bat tout les records de conterie ces un pauvre type
Signaler RépondreToujours le nez dans la chnouff ?
Signaler RépondreBien dit mon p'tit Marco!
Signaler Répondreles dérives d'un troll shooté au comm'
Signaler RépondreLes dérives d'une société shootée à la monnaie
Signaler RépondreJoueur de foot et chasseur...
Signaler RépondreA quoi d'autre pouvait on s'attendre ?
Je suis corse et je peux vous que ce type fait honte à notre ile ! Par cet acte, il ne fait que confirmer son manque de cervelle (passer dans la ferme célébrité c'était déjà un bon début pour montrer sa bêtise). Les animaux en voie de disparition ça lui dit quelque chose ? Il y a malheureusement des gens qui n'évolueront jamais. Il prouve qu'il en fait partie. Il ferait mieux de chasser son ignorance.
Signaler RépondreQ : Effectivement, pourquoi le Zimbabwe ne demande pas à ses propres citoyens de réguler la population des éléphants ? ..... R : Pour tirer de l'argent de riches occidentaux qui peuvent ainsi prendre du plaisir à tuer un gros animal tout en ayant une pseudo bonne conscience... Donc d'accord avec vous, nous sommes en présence d'une attitude totalement néocolonialiste.
Signaler RépondrePourquoi dénigrez-vous Pascal Olmetta, philanthrope ?
Signaler RépondrePascal Olmetta a payé son voyage de ses propres deniers pour aller aider bénévolement la population zimbabwéenne.
Il a régulé le nombre d'animaux pour que le peuple zimbabwéen puisse vivre en sécurité.
Il a nourri la population zimbabwéenne ave le fruit de la régulation pour laquelle, faut-il le rappeler, il s'est dévoué bénévolement.
Et vous vous l'insultez.
parler de soi à la 3ème personne........
Signaler Répondreméchants éléphants et gentil Pascal OLMETA
Signaler Répondreheureusement qu'il est là pour sauver la population de ce pays
il y a ete pour prendre son pied se pauvre type.a voir son air jouissif sur la photo et completement ridicule .c'est un jeu pour se moins que rien.
Signaler RépondreToutes les excuses sont bonnes pour les tueurs.
Signaler RépondreC'est juste un sale type.
Musculation du cerveau ou jalousie ?,
Signaler RépondreNon content de se réjouir outrancièrement, comme on peut le voir dans la vidéo, d'abattre un éléphant, Monsieur Olmeta se justifie par du néocolonialisme.
Signaler RépondreEclairons ses explications.
Il explique, le plus sérieusement du monde, que le Zimbabwe avait besoin de chasseurs, en l'espèce Pasal Olmeta, pour réguler la population animale de ce pays.
Il n'y aurait donc aucun chasseur zimbabwéen qualifié pour réguler la population animale de ce pays.
Il fallait donc en plus sacrifier de l'empreinte carbonne pour réguler la population animale du Zimbabwe dont les autochtones seraient incapables sans Pascal Olmeta et ses acolytes si on comprend bien le droit de réponse de ce monsieur.