Une décision que dénonce la maire de St Fons. Dans un communiqué, Nathalie Frier affirme n’avoir été "ni informée ni consultée sur cette décision" et regrette d’avoir été reléguée au "rang de spectateur" : "Lorsque le démantèlement de la jungle de Calais a été évoqué, j’avais alerté le Préfet des difficultés qui pourraient naître de l’accueil sur notre territoire déjà fragile de populations en situation difficile. Je lui avais indiqué mon souhait d’être associée à toute démarche allant dans ce sens, afin de garantir le meilleur accueil possible pour ces personnes, et pouvoir faire le travail d’explication aux habitants. Alors, que M le Préfet m’avait indiqué l’intention de l’Etat de travailler avec la Ville dans l’éventualité du choix de Saint-Fons comme territoire d’accueil, il n’en a rien été".
La maire, sans étiquette, dénonce un manque de justice territoriale : "Je n’accepte pas que seule Métropole soit choisie, excluant toutes les communes du nouveau Rhône, et que dans la Métropole, Saint-Fons, comme d’autres villes qui cherchent à s’en sortir, soit systématiquement mise à contribution".
Nathalie Frier doit désormais rencontrer des représentants de la Préfecture ainsi que des responsables de l’association Habitat et Humanisme pour "organiser de la meilleure manière l’arrivée prévue des migrants".
Moi aussi ,j'en ai trouvé un dans mon jardin,qui m'arracher les mauvaises herbes.du coup.j'en ai commandé vingt sur AMAZONE et je les est reçu des le lendemain. Ils dorment et mangent dans l'étable ,ils l'entretienne la propriété ,sa me coûte rien et en plus j'ai l'impression d'être un bienfaiteur.
Signaler RépondreVous n'êtes pas drôle. Quel bénéfice tirez vous de toute cette invasion ? La France va devenir un enfer, c'est déjà le cas dans certains départements. Sans compter tout ce qu'on va nous sucrer pour entretenir tous ces gens.
Signaler RépondreEffectivement j'ai mal .. à mon français !
Signaler RépondreOn écrit tu "boitais" et non tu "boiter" : un verbe se conjugue.
A moins que vous ne soyez un migrant qui découvre la langue. Auquel cas on vous excusera.
C'est pour ça que tu boiter ,ce matin,c'est sur tu marchera plus droit.
Signaler Répondrevous avez raison d'ailleurs je me suis réveillé avec un migrant sous ma couette et un autre caché dans mon frigo ce matin !! ah vraiment on nous envahit !
Signaler RépondreLes grandes villes et leurs banlieues sont déjà envahies maintenant c'est toute la France grâce aux dirigeants et à toutes ces associations.
Signaler RépondreCela commence très bien. Un geste humanitaire se transformera rapidement en provocation politique lorsque l'Etat montre un tel mépris envers les citoyens en les mettant devant le fait accompli. Voici quelque chose qui va se terminer très mal, je prédis. Prochaine démarche : réquisition des HLM déjà occupées pour soulager l'inconfort des arrivants!
Signaler RépondreMalheureusement, si Paris et la Corse (refus de élites pour l'une et peur des conséquences pour l'autre) ont été épargnées, toutes les villes plus fragiles vont devoir souffrir de cette politique absurde et suicidaire.
Signaler RépondreQuand on voit l'attitude de beaucoup de ressortissants de cette partie du globe on ne peut que s'inquiéter.
D.Trump a tout à fait raison en disant " la France n'est plus la France", d'ailleurs les chiffres du tourisme en France sont assez éloquents.