La cour administrative d’appel de Lyon examine la légalité du dossier de ce chantier controversé.
La semaine dernière, le rapporteur public avait demandé la confirmation du jugement du tribunal administratif de Grenoble, qui avait annulé l’arrêté préfectoral autorisant la construction du village de vacances.
C’est le groupe Pierre & Vacances qui avait fait appel de cette décision de la justice grenobloise, alors que de multiples recours ont été déposés pour empêcher le chantier. Les travaux sont d’ailleurs suspendus depuis décembre 2014, en raison notamment de la présence sur place de militants zadistes.