Une décision complétée par le feu vert de l'Autorité de la concurrence.
Cette dernière a demandé à Vinci et son consortium (Predica et Caisse des Dépôts et Consignations) de prendre des engagements pour sa gestion future de l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry.
Selon les Echos, l'Autorité craignait que Vinci, en tant que groupe de BTP, puisse tricher sur la mise en concurrence des entreprises lors d'appels d'offres concernant de futurs chantiers sur l'aéroport. Et ainsi entraîner une hausse du coût des travaux, répercutée sur les redevances aéroportuaires.
Vinci s'est donc engagé assurer "une forme d'étanchéité entre les membres du comité des achats et les autres entités du groupe Vinci répondant à des appels d'offres ou mises en concurrence". Mais aussi de "renforcer la transparence des passations des marchés lancés par Aéroports de Lyon en invitant aux réunions de son comité des achats un représentant de la CCI de Lyon Métropole et de la DGCCRF".
Enfin, Vinci sera tenu de communiquer à une institution indépendante la liste des appels d'offres et les candidats retenus pour tous les marchés supérieurs à 90 000 euros.
S'ils gèrent aussi bien Saint Exupéry que Grenoble Saint Geoires tout va bien!
Signaler RépondreMonsieur Zaccharia doit bien se marrer à Genève.
Signaler RépondreBien vu, les monopoles qui nous endette et nous détruise . La mondialisation est faites pour enrichir encore plus les multinationales. Et finir par la confiscation totale de ce que possède l'humain.
Signaler Répondre16% de capitaux français ......... et même là on se mange du capital Qatari ,et vous appelez ça une société française ????
Signaler RépondreC'est nous qui payons pour cette pieuvre tentaculaire
C'est un état dans l'état qui décide de tout et fait ces prix : transport, électricité, aéroport, routes, autoroutes, gestion, informatique, parking, immobilier,construction, , , , , .....
Un monopole qui nous endette et devrait nous révolter