Le maire de Lyon n’a pas pu assister à cette réunion car la veille il était "à Paris, à défendre la Cité de la Gastronomie, un autre sujet majeur". Dans cette bataille au financement, le président de la Métropole ne veut pas une nouvelle dépense, rappelant qu’il soutient déjà "le musée des Confluences dans lequel l’Etat ne met pas un euro" et que le département du Rhône a décidé de ne plus subventionner.
Gérard Collomb serait tout de même à la recherche de partenaires privés, pour l’instant en vain. Si cette recherche n’aboutissait pas, il se dit prêt à assumer la fermeture du musée des Tissus, "un patrimoine industriel qui n’a jamais été du ressort de la ville".
Tuer le Musée Guimet, tuer le Musée des Tissus (si lié à Lyon, si beau), faire de grosses mer**s comme le Musée des Confluences, ce machin ruineux et froid, bâclé à l'intérieur et confus...
Signaler RépondreMais il doit y avoir des avantages financiers, faut croire...Enfin, pas pour les lyonnais...
Va le vendre a une banque , comme d'autres bâtiments....
Signaler RépondreLa ville de lyon n a pas finance un village en roumanie? Aussi
Signaler RépondrePeut etre jumeler ce musee avec un autre ou cree un musee du patrimoine:-)industriel pour tout les metier de l industrie
Signaler RépondreEt dans le même temps il lance la cité de la gastronomie, en partie au détriment des locaux qui étaient destinés au musée de la pharmacie de l'hotel dieu. Et ne parlons pas des dépenses somptuaires pour le stade (privé) de ses amis de l'OL.
Signaler RépondreEt il a dépensé sur notre dos 350 millions d'euros pour les accès à un stade privé en banlieue et 366 millions d'euros au musée confluence.
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