Au total, environ 500 de ces documents avaient été créés pour permettre à l’homme de se fournir en codéïne entre juin 2013 et mars 2016.
C’est d’abord son fils qui avait été suspecté dans cette affaire. Interpellé mercredi dernier, il a été mis hors de cause par les déclarations de son père.
Il va donc comparaître, sur reconnaissance préalable de culpabilité, le 30 juin prochain, pour escroqueries.