Steevy Djobijoba et sa jingle dance en demi-finale de "La France a un incroyable talent"

Il fait officiellement partie des 40 sélectionnés pour la prochaine étape de l’émission de divertissement de M6.

Steevy Djobijoba et sa jingle dance en demi-finale de "La France a un incroyable talent"
Steevy Djobijoba - LyonMag

Guillaume Ducongé, plus connu sous le nom de Steevy Djobijoba, participera mardi prochain à la première demi-finale de "La France a un incroyable talent".

Lors des auditions, il avait fait sensation auprès du jury en présentant un numéro de jingle dance, "une nouvelle discipline dans le domaine de la danse qui consiste à improviser une danse sur un jingle voire sur une musique de publicité", explique ce Caluirard, originaire de Bourg-en-Bresse.

L’histoire commence début 2016. Alors qu’il attend son train pour Paris sur un quai de la gare de la Part-Dieu, Guillaume Ducongé entend le jingle de la SNCF et improvise une mini-chorégraphie. "Au départ, ce n’est pas une idée mais une inspiration", insiste-t-il. Le personnage de Steevy Djobijoba vient de naître, et avec lui la jingle dance.

S’en suit plusieurs vidéos postées sur Youtube où on le voit danser en collant noir et avec une paire de chaussettes rose sur les jingles de la SNCF puis d’IKEA ou encore de la MAAF. Le succès est au rendez-vous avec des milliers de vues.

L’aventure de "La France a un incroyable talent" débute l’été dernier ; sa candidature est sélectionnée et Steevy monte à Paris pour passer la fameuse audition devant le jury composé de Gilbert Rozon, Eric-Antoine, Kamel Ouali et Hélène Ségara. "Au moment de rentrer sur scène, j’espérais ne pas avoir quatre buzz au bout de 20 secondes", raconte-t-il.

Le producteur québécois va pourtant appuyer sur la croix rouge redoutée par tous les candidats. Les autres membres sont eux séduits par la prestation de Steevy ; Gilbert Rozon finira également d’être convaincu en lui accordant un quatrième oui.

Place maintenant à la demi-finale avec un numéro dont "la barre sera beaucoup plus haute. Pourquoi ne pas prendre des risques !", assure Steevy Djobijoba qui insiste sur le fait que la jingle dance "peut devenir universelle à la manière des flashmob".  

Après l’émission, le Caluirard continuera à développer son concept. "Pourquoi pas l’intégrer dans des publicités, faire des tournées de danses de salon ou encore créer une battle géante avec la SNCF (…) J’ai posté ces vidéos, filmées par ma femme, sans aucune prétention. Je surfe sur cette vague. Je ne sais pas sur quel rivage elle va m’emmener", conclut-il dans un sourire.

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